L’ancienne Première ministre, Aminata Touré a été déchue de son poste de députée mardi dernier, après un vote du bureau de l’Assemblée nationale. Une semaine après, elle dit attendre toujours la notification qui lui permettra de faire des recours.
« Je n’ai pas perdu mon mandat on me l’a arraché illégalement. J’attends toujours la notification. Et je saisis l’occasion pour interpeller le bureau de l’Assemblée nationale pour leur dire que quand vous renvoyez illégalement un député, il faut lui donner une notification. J’ai envoyé la chercher à plusieurs reprises ce n’est pas encore disponible. Dès réception de celle-ci, je saisirai les voies et moyens de recours judiciaire. Je continuerai de faire ce que je faisais à l’Assemblée nationale, c’est à dire parler des questions importantes », a-t-elle prévenu.
La coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar a invoqué la Constitution, qui stipule que « tout député qui quitte son parti est automatiquement déchu de son mandat ». Mais pour Mimi Touré, c’est une « violation de la loi ».
Sauf que Mimi n'a pas été portée à l'Assemblée par un parti mais plutôt par une coalition.
« Je n’ai pas perdu mon mandat on me l’a arraché illégalement. J’attends toujours la notification. Et je saisis l’occasion pour interpeller le bureau de l’Assemblée nationale pour leur dire que quand vous renvoyez illégalement un député, il faut lui donner une notification. J’ai envoyé la chercher à plusieurs reprises ce n’est pas encore disponible. Dès réception de celle-ci, je saisirai les voies et moyens de recours judiciaire. Je continuerai de faire ce que je faisais à l’Assemblée nationale, c’est à dire parler des questions importantes », a-t-elle prévenu.
La coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar a invoqué la Constitution, qui stipule que « tout député qui quitte son parti est automatiquement déchu de son mandat ». Mais pour Mimi Touré, c’est une « violation de la loi ».
Sauf que Mimi n'a pas été portée à l'Assemblée par un parti mais plutôt par une coalition.
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