La dégradation avancée de la bande de filao à Kayar (ville située sur la Petite Côte) suscite une profonde inquiétude parmi les riverains et les défenseurs de l'environnement. Le Collectif « Saytou Sunu Momel » s'élève contre cette menace croissante, avec le soutien déterminé du député Amadou Ba de Pastef Les Patriotes.
Lors de sa visite sur place, le parlementaire Amadou Ba a promis de porter les préoccupations des populations auprès des autorités compétentes.
« La bande de filao tel que nous avons constaté mérite des actions urgentes. L’impact écologique de la destruction de la bande ne peut pas être supporté par les finances publiques, ce n’est pas possible. Autant qu’on essaie de trouver des solutions pendant que les constructions n’ont pas démarré. Je pense que toutes les autorités en sont conscientes. Des actions urgentes sont espérées et attendues », a déclaré Amadou Ba député de Yewwi Askan Wi.
Il a souligné l'urgence d'agir pour préserver cette bande de filao, cruciale non seulement pour son rôle dans la protection naturelle contre l'érosion côtière, mais aussi pour son impact crucial dans la lutte contre la salinisation des sols.
« La destruction de la bande de filao ne peut être ignorée, tant sur le plan écologique que financier. Nous devons agir maintenant, avant que les conséquences ne deviennent irréversibles », a dit Amadou Ba.
Le coordonnateur du Collectif « Saytou Sunu Momel » de Kayar, Cheikh Gueye, a souligné l'importance vitale de cette zone pour l'écosystème local.
« En tant que citoyen sénégalais, nous avons le devoir quand on constate la dégradation de l’environnement, parce que nous sommes insérés dans la congestion de la biodiversité. Nous devons en tant que population alerter les services compétents pour qu’ils identifient les responsables », a-t-il constaté.
Maintenant, dit-il, « il y a des enquêtes à faire et des audits à faire et nous sommes impatients pour qu’on puisse retrouver notre surface environnementale et pouvoir régénérer cette bande de filao qui est un bouclier naturel face à l’avancée de la mer, de la salinisation des sols pour que le volet maraîchage puisse reprendre service ».
Les membres du collectif se disent optimistes avec l'arrivée de nouvelles autorités au pouvoir, espérant une action décisive pour préserver et régénérer la bande de filao de Kayar.
Lors de sa visite sur place, le parlementaire Amadou Ba a promis de porter les préoccupations des populations auprès des autorités compétentes.
« La bande de filao tel que nous avons constaté mérite des actions urgentes. L’impact écologique de la destruction de la bande ne peut pas être supporté par les finances publiques, ce n’est pas possible. Autant qu’on essaie de trouver des solutions pendant que les constructions n’ont pas démarré. Je pense que toutes les autorités en sont conscientes. Des actions urgentes sont espérées et attendues », a déclaré Amadou Ba député de Yewwi Askan Wi.
Il a souligné l'urgence d'agir pour préserver cette bande de filao, cruciale non seulement pour son rôle dans la protection naturelle contre l'érosion côtière, mais aussi pour son impact crucial dans la lutte contre la salinisation des sols.
« La destruction de la bande de filao ne peut être ignorée, tant sur le plan écologique que financier. Nous devons agir maintenant, avant que les conséquences ne deviennent irréversibles », a dit Amadou Ba.
Le coordonnateur du Collectif « Saytou Sunu Momel » de Kayar, Cheikh Gueye, a souligné l'importance vitale de cette zone pour l'écosystème local.
« En tant que citoyen sénégalais, nous avons le devoir quand on constate la dégradation de l’environnement, parce que nous sommes insérés dans la congestion de la biodiversité. Nous devons en tant que population alerter les services compétents pour qu’ils identifient les responsables », a-t-il constaté.
Maintenant, dit-il, « il y a des enquêtes à faire et des audits à faire et nous sommes impatients pour qu’on puisse retrouver notre surface environnementale et pouvoir régénérer cette bande de filao qui est un bouclier naturel face à l’avancée de la mer, de la salinisation des sols pour que le volet maraîchage puisse reprendre service ».
Les membres du collectif se disent optimistes avec l'arrivée de nouvelles autorités au pouvoir, espérant une action décisive pour préserver et régénérer la bande de filao de Kayar.
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