La représentation nationale doit bel et bien de l’argent au Trésor public. Confirmant l’Inspecteur des Impôts, Ousmane Sonko, le Document de Programmation Budgétaire et Economique Pluriannuelle (DPBEP) produit par les services du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan évalue la dette fiscale de l’Assemblée nationale à plus de deux (2) milliards de F CFA. Pour le président du groupe parlementaire de la majorité, Benno Bokk Yaakaar (BBY), «le ministère a fauté».
«Mon combat s’était de défendre l’honorabilité des députés c’est-à-dire que les députés payent leurs impôts parce que ça figure dans nos bulletins de salaire. Maintenant, si cela n’est pas reversé, ce n’est pas mon problème. Ce qui m’intéresse, c’est que les 150 députés qui reçoivent des bulletins de salaire, sachent qu’il y a des retenues à la source. Et c’est le principe qui est appliqué à tous les Sénégalais. Donc, si c’est à la source, si cela n’est pas retenu, ce n’est pas la faute du député. Donc, c’est une polémique qui ne m’intéresse pas. Il faut poser la question à ceux qui sont responsables de cela », fulmine Moustapha Diakhaté.
Pour le responsable de l’APR (Alliance Pour la République, parti présidentiel), «si le document est avéré et que l’Assemblée nationale a une dette fiscale du montant dont vous me parlez, je pense que le ministère a fauté » car assène-t-il dans "l'Observateur" : «La réglementation est claire : Vous rappelez et s’ils n’obtempèrent pas, vous redressez».
«Mon combat s’était de défendre l’honorabilité des députés c’est-à-dire que les députés payent leurs impôts parce que ça figure dans nos bulletins de salaire. Maintenant, si cela n’est pas reversé, ce n’est pas mon problème. Ce qui m’intéresse, c’est que les 150 députés qui reçoivent des bulletins de salaire, sachent qu’il y a des retenues à la source. Et c’est le principe qui est appliqué à tous les Sénégalais. Donc, si c’est à la source, si cela n’est pas retenu, ce n’est pas la faute du député. Donc, c’est une polémique qui ne m’intéresse pas. Il faut poser la question à ceux qui sont responsables de cela », fulmine Moustapha Diakhaté.
Pour le responsable de l’APR (Alliance Pour la République, parti présidentiel), «si le document est avéré et que l’Assemblée nationale a une dette fiscale du montant dont vous me parlez, je pense que le ministère a fauté » car assène-t-il dans "l'Observateur" : «La réglementation est claire : Vous rappelez et s’ils n’obtempèrent pas, vous redressez».
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