Jean-Baptiste Tine, ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, est revenu sur le boycott de l’Alliance pour la Transparence des Élections (ATEL), qui a boudé lors des discussions, ce samedi sur le processus électoral. Pour le ministre, « le boycott en termes n’est pas une position politique pertinente ». Ainsi, il appelle l’ATEL à « rejoindre l’attelage politique avant qu’il ne soit trop tard. »
« C’est lors du dernier Conseil des ministres dernier que j’ai été instruit d’initier des concertations avec toutes les partis politique concernant les élections législatives anticipées prévu pour se tenir le 17 novembre 2024. Aujourd'hui donc dans le cadre de cette concertation, nous avons accueilli ici 123 formations politiques. Les principaux acteurs de la société civile et une quarantaine de groupes de la presse. Ça a bien démarré, les travaux ont bien démarré l'objectif en fait, c'est de trouver les consensus les plus fort possibles pour qu'on aille vers les élections les plus transparentes, démocratiques et les plus inclusives possibles », a déclaré Jean-Baptiste Tine, ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique.
Par ailleurs, il dit regretter qu’une partie de l’ATEL aie boycotté les discussions. « Je regrette simplement qu’une partie de ATEL, c'est un cadre politique qui vient d'être mis en place récemment. Une partie d'entre eux a préféré boycotter, partir après avoir tenté de bloquer le processus. On ne peut pas aller à des discussions et présumer d’emblée des changements à apporter».
« C’est dommage qu’ils soient partis. Le boycott en termes de position politique, ce n’est pas une position politique pertinente. C’est démontré à travers l'histoire. Donc j'appelle l’ATEL à rejoindre l’attelage politique avant qu’il ne soit trop tard », a regretté Jean-Baptiste Tine.
Pour le ministre, « l’opposition semble de ne pas être prête en tant que formation politique à affronter les urnes. Je n’étais pas là aux dernières élections, j'ai l'impression qu’ils ne sont pas encore réorganisés. Je les appelle à revenir à la table des discussions ».
« C’est lors du dernier Conseil des ministres dernier que j’ai été instruit d’initier des concertations avec toutes les partis politique concernant les élections législatives anticipées prévu pour se tenir le 17 novembre 2024. Aujourd'hui donc dans le cadre de cette concertation, nous avons accueilli ici 123 formations politiques. Les principaux acteurs de la société civile et une quarantaine de groupes de la presse. Ça a bien démarré, les travaux ont bien démarré l'objectif en fait, c'est de trouver les consensus les plus fort possibles pour qu'on aille vers les élections les plus transparentes, démocratiques et les plus inclusives possibles », a déclaré Jean-Baptiste Tine, ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique.
Par ailleurs, il dit regretter qu’une partie de l’ATEL aie boycotté les discussions. « Je regrette simplement qu’une partie de ATEL, c'est un cadre politique qui vient d'être mis en place récemment. Une partie d'entre eux a préféré boycotter, partir après avoir tenté de bloquer le processus. On ne peut pas aller à des discussions et présumer d’emblée des changements à apporter».
« C’est dommage qu’ils soient partis. Le boycott en termes de position politique, ce n’est pas une position politique pertinente. C’est démontré à travers l'histoire. Donc j'appelle l’ATEL à rejoindre l’attelage politique avant qu’il ne soit trop tard », a regretté Jean-Baptiste Tine.
Pour le ministre, « l’opposition semble de ne pas être prête en tant que formation politique à affronter les urnes. Je n’étais pas là aux dernières élections, j'ai l'impression qu’ils ne sont pas encore réorganisés. Je les appelle à revenir à la table des discussions ».
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