Des autorités en charge de la gestion de l’environnement et des ressources naturelles dans l’espace Africain francophone ont en conclave depuis lundi, un atelier de renforcement des capacités visant à les outiller en matière de bonne gouvernance environnementale et de gestion de la biodiversité.
Initié par l’organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), cet atelier de 4 jours, regroupe des participants venus de vingt pays d’Afrique Francophone.
« Pour mieux faire face aux défis liés aux changements climatiques et autres, il est important de repenser le modèle de gouvernance des ressources naturelles et de l’environnement en Afrique », a estimé le chargé de programmes à FAO Sénégal, Makhfousse Sarr.
D’après lui, cet atelier répond à la nécessité de bien outiller la haute administration des ministères techniques en charge de la gestion et de la conservation forêts, faunes, pêches et de l’environnement.
« L’atelier concerne beaucoup plus les ressources renouvelables, l’eau, les forêts, les pêches. C’est pour cela que nous avons ces responsables, etc. », a indiqué le chargé des questions forestières à la FAO, Jérémie Mbaoramadji.
Il a évoqué trois piliers essentiels touchant ce domaine notamment, le cadre politique réglementaire, les capacités des acteurs, ainsi que le respect des règles qui feront aussi l’objet de leur rencontre.
« Ce sont des principes aussi simples, sauf que ce n’est pas facile de les mettre en œuvre. La transparence, l’équité, l’efficacité, la redevabilité, etc., c’est de tout cela qu’on va discuter », a-t-il renchéri dans les colonnes de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).
Abordant des statistiques de la FAO, le troisième conseiller technique du ministre de l’Environnement et de la Transition énergétique, Thialao Sarr a souligné que l’Afrique perdait chaque année, 4,4 millions d’hectares de forêts à cause de l’expansion agricole et de l’exploitation forestière.
« (…) de même, 34% des pêcheries marines sont exploitées de manière non durable et près de 10 millions ha sont touchés par les incendies », a-t-il informé, tout en soulignant que le continent perdait ainsi des millions de dollars à cause de la dégradation de l’environnement.
Initié par l’organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), cet atelier de 4 jours, regroupe des participants venus de vingt pays d’Afrique Francophone.
« Pour mieux faire face aux défis liés aux changements climatiques et autres, il est important de repenser le modèle de gouvernance des ressources naturelles et de l’environnement en Afrique », a estimé le chargé de programmes à FAO Sénégal, Makhfousse Sarr.
D’après lui, cet atelier répond à la nécessité de bien outiller la haute administration des ministères techniques en charge de la gestion et de la conservation forêts, faunes, pêches et de l’environnement.
« L’atelier concerne beaucoup plus les ressources renouvelables, l’eau, les forêts, les pêches. C’est pour cela que nous avons ces responsables, etc. », a indiqué le chargé des questions forestières à la FAO, Jérémie Mbaoramadji.
Il a évoqué trois piliers essentiels touchant ce domaine notamment, le cadre politique réglementaire, les capacités des acteurs, ainsi que le respect des règles qui feront aussi l’objet de leur rencontre.
« Ce sont des principes aussi simples, sauf que ce n’est pas facile de les mettre en œuvre. La transparence, l’équité, l’efficacité, la redevabilité, etc., c’est de tout cela qu’on va discuter », a-t-il renchéri dans les colonnes de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).
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