
L'agent administratif au ministère de la Microfinance à Diamniadio a fait connaissance avec sa victime, Arona Adama Guissé, qui logeait chez son oncle. Selon le journal Les Echos qui rapporte l'information, cette affaire aurait pris départ lorsque A Guissé a soumis son projet de voyage pour le Canada, à O Ndoye qui lui a promis de lui trouver un visa.
À cet effet, la victime lui avait versé ainsi 620.000 F Cfa. Malheureusement, Ousseynou Ndoye n'a pas pu lui trouver le visa. Le plaignant décide alors de le traduire en justice pour escroquerie.
Interrogé à la barre, le prévenu, a reconnu avoir reçu ledit montant des mains de la partie civile. Toutefois, il a déclaré qu'il n'était qu'un simple intermédiaire dans cette affaire.
''Je l'ai mis en rapport avec un certain Matar Ly qui travaille au ministère des Affaires étrangères. J'ai sollicité celui-ci pour lui démarcher un visa puisqu'il a des connaissances pour ça. Ce dernier lui a dit qu'il devait verser des frais de dossier. Je n'étais qu'un intermédiaire dans cette affaire parce que je transférais tous les envois d'argent qu'il me faisait à Matar Ly. J'avais même fait des captures de ces envois même si je n'ai pas versé devant le tribunal ces preuves", a-t-il confié.
Le plaignant Arona Adama Guissé a révélé quant à lui, que lorsqu'il a fait part de son projet de voyage à Ousseynou Ndoye, ce dernier lui a promis de lui trouver un visa dans un délai de 6 mois.
Promesse qu'il n'a pas tenue si l'on se fie au propos de la victime. "La personne avec qui il m'a mis en rapport m'a demandé 50.000 F Cfa et mon passeport. Quand je lui ai versé l'argent, il m'a assuré que pour le visa, c'était calé. C'est ce qui m'a poussé à démissionner de la boutique où je travaillais après avoir fait un inventaire", a t-il fait savoir.
La partie civile a soutenu avoir reçu à la barre un acompte de 300.000 F Cfa des mains du prévenu.
Toujours d'après le même quotidien d'informations, le procureur a requis l'application de la loi contre Ousseymou Ndoye. Me Takha Cissé a pour sa part plaidé une application bienveillante de la loi pénale contre lui. La robe a souligné que son client a voulu aider la partie civile, mais qu'il n'a pas été prudent.
Finalement, après avoir écarté les faits d'escroquerie reprochés à Ousseynou Ndoye en complicité, le tribunal l'a condamné à 2 mois de prison assortis du sursis. En plus, il doit payer le montant de 320.500 F Cfa à la victime pour le reste de son argent.
À cet effet, la victime lui avait versé ainsi 620.000 F Cfa. Malheureusement, Ousseynou Ndoye n'a pas pu lui trouver le visa. Le plaignant décide alors de le traduire en justice pour escroquerie.
Interrogé à la barre, le prévenu, a reconnu avoir reçu ledit montant des mains de la partie civile. Toutefois, il a déclaré qu'il n'était qu'un simple intermédiaire dans cette affaire.
''Je l'ai mis en rapport avec un certain Matar Ly qui travaille au ministère des Affaires étrangères. J'ai sollicité celui-ci pour lui démarcher un visa puisqu'il a des connaissances pour ça. Ce dernier lui a dit qu'il devait verser des frais de dossier. Je n'étais qu'un intermédiaire dans cette affaire parce que je transférais tous les envois d'argent qu'il me faisait à Matar Ly. J'avais même fait des captures de ces envois même si je n'ai pas versé devant le tribunal ces preuves", a-t-il confié.
Le plaignant Arona Adama Guissé a révélé quant à lui, que lorsqu'il a fait part de son projet de voyage à Ousseynou Ndoye, ce dernier lui a promis de lui trouver un visa dans un délai de 6 mois.
Promesse qu'il n'a pas tenue si l'on se fie au propos de la victime. "La personne avec qui il m'a mis en rapport m'a demandé 50.000 F Cfa et mon passeport. Quand je lui ai versé l'argent, il m'a assuré que pour le visa, c'était calé. C'est ce qui m'a poussé à démissionner de la boutique où je travaillais après avoir fait un inventaire", a t-il fait savoir.
La partie civile a soutenu avoir reçu à la barre un acompte de 300.000 F Cfa des mains du prévenu.
Toujours d'après le même quotidien d'informations, le procureur a requis l'application de la loi contre Ousseymou Ndoye. Me Takha Cissé a pour sa part plaidé une application bienveillante de la loi pénale contre lui. La robe a souligné que son client a voulu aider la partie civile, mais qu'il n'a pas été prudent.
Finalement, après avoir écarté les faits d'escroquerie reprochés à Ousseynou Ndoye en complicité, le tribunal l'a condamné à 2 mois de prison assortis du sursis. En plus, il doit payer le montant de 320.500 F Cfa à la victime pour le reste de son argent.
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