La filière porcine au Sénégal amorce un tournant décisif avec la dynamique en cours pour la création d’une interprofession. Cette initiative vise à structurer et à formaliser un secteur en pleine croissance mais encore largement informel. Le week-end dernier, une mission de sensibilisation s’est rendue dans la région de Kolda (sud) , afin de mobiliser les acteurs locaux autour de ce projet stratégique.
Portée par un comité d’initiative, cette démarche ambitionne de fédérer l’ensemble des parties prenantes – éleveurs, commerçants, transformateurs – autour d’une structure représentative capable de porter la voix de la filière auprès des autorités publiques.
« Il urge de s’organiser aux niveaux communal, départemental et régional pour ensuite tenir une assemblée générale nationale, afin de mettre en place le bureau de l’interprofession qui sera l’interface entre les acteurs et l’État », a expliqué Jean François Faye, coordonnateur du comité d’initiative.
Pour lui, l’un des chantiers prioritaires reste le recensement des acteurs de la filière, une étape indispensable pour garantir une représentativité équitable au sein de la future interprofession. Ce travail de fond permettra également de mieux cerner les besoins du secteur et de concevoir des politiques publiques adaptées.
La création d’une interprofession porcine devrait, à terme, contribuer à "améliorer la productivité, renforcer la qualité des produits, mieux organiser les circuits de commercialisation, et favoriser l’accès au financement pour les petits producteurs" a expliqué M Faye.
Face à l’enjeu de souveraineté alimentaire et à la demande croissante en produits carnés, la structuration de la filière porcine s’impose comme une réponse pertinente aux défis économiques et sociaux que rencontre le monde rural sénégalais.
Portée par un comité d’initiative, cette démarche ambitionne de fédérer l’ensemble des parties prenantes – éleveurs, commerçants, transformateurs – autour d’une structure représentative capable de porter la voix de la filière auprès des autorités publiques.
« Il urge de s’organiser aux niveaux communal, départemental et régional pour ensuite tenir une assemblée générale nationale, afin de mettre en place le bureau de l’interprofession qui sera l’interface entre les acteurs et l’État », a expliqué Jean François Faye, coordonnateur du comité d’initiative.
Pour lui, l’un des chantiers prioritaires reste le recensement des acteurs de la filière, une étape indispensable pour garantir une représentativité équitable au sein de la future interprofession. Ce travail de fond permettra également de mieux cerner les besoins du secteur et de concevoir des politiques publiques adaptées.
La création d’une interprofession porcine devrait, à terme, contribuer à "améliorer la productivité, renforcer la qualité des produits, mieux organiser les circuits de commercialisation, et favoriser l’accès au financement pour les petits producteurs" a expliqué M Faye.
Face à l’enjeu de souveraineté alimentaire et à la demande croissante en produits carnés, la structuration de la filière porcine s’impose comme une réponse pertinente aux défis économiques et sociaux que rencontre le monde rural sénégalais.
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