Saïdou Diao, employé dans une brasserie de Figeac, en France, est menacé d'expulsion par la sous-préfecture de cette contrée française. Une nouvelle qui a entraîné une vague de solidarité et de soutiens pour empêcher l'effectivité de cette décision.
Le Sénégalais, âgé de 38 ans, attire toutes les attentions. Réputé discret, travailleur et gentil, le jeune homme est bien intégré au sein de la brasserie. “C'est un garçon exemplaire, d'une gentillesse exceptionnelle”, témoignent Cyril et Maryse Lalanne, les gérants de la boîte. Ils se mobilisent pour éviter le renvoi de leur employé dans son pays d'origine.
Saïdou Diao est en effet sous le coup d'une mesure d'éloignement du territoire prononcée le 12 juillet dernier. La date de son expulsion est fixée au 15 août prochain. “Il a sa disposition son billet d'avion”, se désolent ses employeurs.
“Saïdou est employé depuis le 1er janvier 2023. Il a toujours été déclaré, j'ai toutes les fiches de paie. Il n'a jamais fait une minute de travail illégal. C'est une situation ubuesque”, constate amèrement Cyril Lalanne.
Ses qualités humaines ont été vantées par son employeur. “L'été dernier, c'était l'employé du mois. Il est organisé et autonome. Il paye ses factures et il a approvisionné pour envoyer de l'argent à sa famille”, atteste son épouse.
Une mobilisation citoyenne s'annonce à Figeac pour empêcher son renvoi. Les patrons, collègues et proches ainsi que la Cimade lancent un appel à un large rassemblement au cours de l'audience accordée par le sous-préfet de Figeac à ses patrons, ce 25 juillet.
Présent depuis presque trois ans en France, Saïdou Diao aurait pu déposer un dossier demande de titre de séjour.”Mais il a été convoqué à la gendarmerie parce qu'il a été victime d'un accrochage en voiture. On lui a confisqué son passeport. Depuis, il est assigné à résidence et il doit aller deux fois par semaine à la gendarmerie, relate Cyril Lalanne qui ne cache pas son amertume", soutient Cyril Lalane.
Le Sénégalais, âgé de 38 ans, attire toutes les attentions. Réputé discret, travailleur et gentil, le jeune homme est bien intégré au sein de la brasserie. “C'est un garçon exemplaire, d'une gentillesse exceptionnelle”, témoignent Cyril et Maryse Lalanne, les gérants de la boîte. Ils se mobilisent pour éviter le renvoi de leur employé dans son pays d'origine.
Saïdou Diao est en effet sous le coup d'une mesure d'éloignement du territoire prononcée le 12 juillet dernier. La date de son expulsion est fixée au 15 août prochain. “Il a sa disposition son billet d'avion”, se désolent ses employeurs.
“Saïdou est employé depuis le 1er janvier 2023. Il a toujours été déclaré, j'ai toutes les fiches de paie. Il n'a jamais fait une minute de travail illégal. C'est une situation ubuesque”, constate amèrement Cyril Lalanne.
Ses qualités humaines ont été vantées par son employeur. “L'été dernier, c'était l'employé du mois. Il est organisé et autonome. Il paye ses factures et il a approvisionné pour envoyer de l'argent à sa famille”, atteste son épouse.
Une mobilisation citoyenne s'annonce à Figeac pour empêcher son renvoi. Les patrons, collègues et proches ainsi que la Cimade lancent un appel à un large rassemblement au cours de l'audience accordée par le sous-préfet de Figeac à ses patrons, ce 25 juillet.
Présent depuis presque trois ans en France, Saïdou Diao aurait pu déposer un dossier demande de titre de séjour.”Mais il a été convoqué à la gendarmerie parce qu'il a été victime d'un accrochage en voiture. On lui a confisqué son passeport. Depuis, il est assigné à résidence et il doit aller deux fois par semaine à la gendarmerie, relate Cyril Lalanne qui ne cache pas son amertume", soutient Cyril Lalane.
Autres articles
-
Campagne agricole 2025-2026 : le ministre Mabouba Diagne précise l’organisation et les missions des commissions de supervision
-
Habibou Dia sur le cas des médias non-conformes : « Aucune entreprise n'a été fermée »
-
Rosso : trois individus interpellés pour tentative de trafic de migrants et escroquerie
-
Réforme des médias : le ministère de la Communication clarifie les mesures de mise en conformité
-
Pacte national de stabilité : le SYTJUST dénonce l’exclusion du secteur judiciaire et annonce la reprise de la mobilisation