Nous l'appellerons « Philippe » : il tient plus que tout à garder l'anonymat. Car, dans le monde feutré des antiquaires de prestige, on a pour tradition de ne jamais parler de ses clients.
Philippe connaît bien l'hôtel particulier de Téodorin Obiang, avenue Foch, car il a participé à meubler ce gigantesque palais de 5 000 mètres carrés situé à quelques pas de la place de l'Etoile. Un hôtel particulier hors normes, un endroit extravagant, avec des ascenseurs à chaque palier, des salles de bains gigantesques en marbre blanc, sans oublier les écrans de télé aux murs et aux plafonds.
Mais au-delà de cette démesure, le pied à terre parisien de Téodorin Obiang a une singularité. Il a été entièrement meublé par l'un des plus grands noms de la décoration, avec pour thématique, l'univers du 18e siècle. Et pour ce faire, les plus grands antiquaires parisiens ont été sollicités pour fournir les plus belles pendules, les plus belles tentures, les plus beaux bureaux représentatifs de cette période.
Et au final, un hôtel particulier meublé comme un petit Versailles, avec des meubles rares marquetés et laqués, tous signés par les plus grands ébénistes français du siècle des Lumières. «Téodorin Obiang est un collectionneur averti », souligne Philippe, certain d'une chose : au fil du temps, la valeur de sa collection exceptionnelle n'a pu que croître.
Source: RFI
Philippe connaît bien l'hôtel particulier de Téodorin Obiang, avenue Foch, car il a participé à meubler ce gigantesque palais de 5 000 mètres carrés situé à quelques pas de la place de l'Etoile. Un hôtel particulier hors normes, un endroit extravagant, avec des ascenseurs à chaque palier, des salles de bains gigantesques en marbre blanc, sans oublier les écrans de télé aux murs et aux plafonds.
Mais au-delà de cette démesure, le pied à terre parisien de Téodorin Obiang a une singularité. Il a été entièrement meublé par l'un des plus grands noms de la décoration, avec pour thématique, l'univers du 18e siècle. Et pour ce faire, les plus grands antiquaires parisiens ont été sollicités pour fournir les plus belles pendules, les plus belles tentures, les plus beaux bureaux représentatifs de cette période.
Et au final, un hôtel particulier meublé comme un petit Versailles, avec des meubles rares marquetés et laqués, tous signés par les plus grands ébénistes français du siècle des Lumières. «Téodorin Obiang est un collectionneur averti », souligne Philippe, certain d'une chose : au fil du temps, la valeur de sa collection exceptionnelle n'a pu que croître.
Source: RFI
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