Le collectif Noo Lank (nous disons non, en wolof) qui, à la base, lutte contre la hausse du prix de l’électricité au Sénégal est dans la tourmente. Les dissidents qui ont claqué la porte, dénoncent une tentative de récupération et de manipulation en son sein.
D’après le président de Génération forces citoyennes (Gfc), le véritable problème de Noo Lank, c’est l’accaparement du collectif par des mouvements de la deuxième heure qui veulent se faire une nouvelle santé.
« Des mouvements comme Y’en a marre et autres syndicats sont en perte de vitesse et ils veulent que le combat continue pour pouvoir exister. Ils ne sont pas donc pas intéressés par le combat contre la hausse du prix de l’électricité. Ce qu’ils veulent, c’est refaire leur image », estime Mame Cheikh Seck.
Il accuse des responsables de Noo Lank à savoir Amadou Gaye et Oumar Waly Zoumarou de créer un groupe de contacts pour aller rendre visite aux leaders politiques au nom du collectif et ils prennent des décisions unilatérales sans avertir les membres fondateurs.
Une démarche que M. Seck dit avoir dénoncé depuis le départ. « C’est pourquoi nous avons prix nos distances. Il y a d’autres organisations qui ne sont pas d’accord avec la démarche actuelle et les jours à venir vont nous édifier », prévient-il.
D’après le président de Génération forces citoyennes (Gfc), le véritable problème de Noo Lank, c’est l’accaparement du collectif par des mouvements de la deuxième heure qui veulent se faire une nouvelle santé.
« Des mouvements comme Y’en a marre et autres syndicats sont en perte de vitesse et ils veulent que le combat continue pour pouvoir exister. Ils ne sont pas donc pas intéressés par le combat contre la hausse du prix de l’électricité. Ce qu’ils veulent, c’est refaire leur image », estime Mame Cheikh Seck.
Il accuse des responsables de Noo Lank à savoir Amadou Gaye et Oumar Waly Zoumarou de créer un groupe de contacts pour aller rendre visite aux leaders politiques au nom du collectif et ils prennent des décisions unilatérales sans avertir les membres fondateurs.
Une démarche que M. Seck dit avoir dénoncé depuis le départ. « C’est pourquoi nous avons prix nos distances. Il y a d’autres organisations qui ne sont pas d’accord avec la démarche actuelle et les jours à venir vont nous édifier », prévient-il.
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