A la Commission électorale pour la commune de Kaloum, trois commissaires accueillent les futurs candidats. Dans son bureau, le rapporteur Moussa Diakité distribue les documents à remplir. « Il y a d’abord la déclaration collective. Vous avez la déclaration de candidature », explique-t-il.
Une fois collectées, les données sont ensuite informatisées. Actes de naissance, casiers judiciaires, reçus bancaires, certificats de résidence etc… La liste des documents à fournir est fastidieuse, d'autant que ces papiers doivent être récupérés et déposés dans un délai de 15 jours : « 15 jours, bien sûr que c’est suffisant. Quand ils viennent, cette procédure n’est pas compliquée, elle ne demande pas que la personne passe toute une journée ».
Pour l'heure, il n'y a pas de réel engouement ni des candidatures politiques, ni même des indépendants. « Il faut que l’information passe et repasse. Il faut les amener à comprendre, ces élections sont à eux. Ce n’est pas une exclusivité pour les partis politiques », justifie Abdoulaye Touré, le juriste de la Céci.
Des commissaires de la Céci sont déployés dans les quartiers, accompagnés par des acteurs de la société civile et soutenus par des spots publicitaires. L'enjeu est d'informer les éventuels participants indépendants qui n'ont pas participé à une élection communale depuis 12 ans.
Une fois collectées, les données sont ensuite informatisées. Actes de naissance, casiers judiciaires, reçus bancaires, certificats de résidence etc… La liste des documents à fournir est fastidieuse, d'autant que ces papiers doivent être récupérés et déposés dans un délai de 15 jours : « 15 jours, bien sûr que c’est suffisant. Quand ils viennent, cette procédure n’est pas compliquée, elle ne demande pas que la personne passe toute une journée ».
Pour l'heure, il n'y a pas de réel engouement ni des candidatures politiques, ni même des indépendants. « Il faut que l’information passe et repasse. Il faut les amener à comprendre, ces élections sont à eux. Ce n’est pas une exclusivité pour les partis politiques », justifie Abdoulaye Touré, le juriste de la Céci.
Des commissaires de la Céci sont déployés dans les quartiers, accompagnés par des acteurs de la société civile et soutenus par des spots publicitaires. L'enjeu est d'informer les éventuels participants indépendants qui n'ont pas participé à une élection communale depuis 12 ans.
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