L'activité s’est déroulée sous la présence de plusieurs acteurs notamment ceux de l’Etat, des membres du secteur privé et de la société civile, les universitaires, les médias, les Partenaires techniques et financiers, etc. L'objectif est d'installer officiellement le comité national du PRACT, de définir les rôles et tâches des membres du comité, mais aussi de discuter des prochaines étapes. « Le PRACT est un programme de développement multisectoriel qui vise à œuvrer avec les communautés locales des régions frontalières en vue d'assurer la cohésion sociale, la construction régionale et le développement durable », a expliqué M. Diouf.
Validé par les Ministres en charge de la gestion des frontières en novembre 2016 à Bamako (Mali) pour une période quinquennale (2017-2021), il a été reconduit pour 2021-2025, par la Conférence des chefs d'État et de Gouvernement en janvier 2021, en raison de la pandémie de COVID-19.
L’élaboration du programme s'est faite à travers un processus participatif et inclusif. Elle a été menée grâce à des enquêtes de terrain, des rencontres d'information, à divers niveaux, et d'analyse des projets et programmes soutenus par la CEDEAO et par d'autres partenaires. Selon Malick Diouf, représentant et conseiller au ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur, le PRACT ambitionne de contribuer à transformer « les zones frontalières ouest africaines en des espaces de paix, de sécurité et de développement de la coopération de proximité pour accélérer l'intégration régionale au sein de la CEDEAO ».
L'objectif général du PRACT est de « contribuer au renforcement de la coopération transfrontalière entre les acteurs locaux et les Etats. Mais également d'améliorer « les capacités des femmes en vue d'accélérer l'intégration régionale par le bas dans l'espace CEDEAO », a souligné Ibrahima Gueye conseiller technique au ministère de la femme, de la famille et du genre.
Se basant sur une approche de « faire-faire », la CEDEAO envisage la mise en place d'un Comité National de Pilotage (CNP) dans le cadre du suivi de la mise en œuvre du PRACT pour une bonne mise en œuvre dudit programme ainsi que son appropriation par les acteurs divers au sein des Etats membres.
Outre les acteurs étatiques, Ibrahima Gueye conseiller technique au ministère de la femme, de la famille et du genre a affirmé que ce Comité va regrouper les membres du secteur privé et de la société civile, les universitaires, les médias, les partenaires techniques et financiers, etc.
D’après Malick Diouf, « le Sénégal envisage, sous le leadership du Ministère en charge des affaires de la CEDEAO, qui est le Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur, et en partenariat avec les Départements techniques concernés, de mettre en place un Comité national de pilotage aux fins de coordonner et suivre la mise en œuvre du PRACT ».
Validé par les Ministres en charge de la gestion des frontières en novembre 2016 à Bamako (Mali) pour une période quinquennale (2017-2021), il a été reconduit pour 2021-2025, par la Conférence des chefs d'État et de Gouvernement en janvier 2021, en raison de la pandémie de COVID-19.
L’élaboration du programme s'est faite à travers un processus participatif et inclusif. Elle a été menée grâce à des enquêtes de terrain, des rencontres d'information, à divers niveaux, et d'analyse des projets et programmes soutenus par la CEDEAO et par d'autres partenaires. Selon Malick Diouf, représentant et conseiller au ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur, le PRACT ambitionne de contribuer à transformer « les zones frontalières ouest africaines en des espaces de paix, de sécurité et de développement de la coopération de proximité pour accélérer l'intégration régionale au sein de la CEDEAO ».
L'objectif général du PRACT est de « contribuer au renforcement de la coopération transfrontalière entre les acteurs locaux et les Etats. Mais également d'améliorer « les capacités des femmes en vue d'accélérer l'intégration régionale par le bas dans l'espace CEDEAO », a souligné Ibrahima Gueye conseiller technique au ministère de la femme, de la famille et du genre.
Se basant sur une approche de « faire-faire », la CEDEAO envisage la mise en place d'un Comité National de Pilotage (CNP) dans le cadre du suivi de la mise en œuvre du PRACT pour une bonne mise en œuvre dudit programme ainsi que son appropriation par les acteurs divers au sein des Etats membres.
Outre les acteurs étatiques, Ibrahima Gueye conseiller technique au ministère de la femme, de la famille et du genre a affirmé que ce Comité va regrouper les membres du secteur privé et de la société civile, les universitaires, les médias, les partenaires techniques et financiers, etc.
D’après Malick Diouf, « le Sénégal envisage, sous le leadership du Ministère en charge des affaires de la CEDEAO, qui est le Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur, et en partenariat avec les Départements techniques concernés, de mettre en place un Comité national de pilotage aux fins de coordonner et suivre la mise en œuvre du PRACT ».
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