La Ceni a déjà recensé le corps électoral, reste à corriger les listes, ce qui sera fait entre le 18 mars et le 4 avril. Durant deux semaines, les listes seront affichées dans les bureaux de vote afin de permettre aux électeurs de corriger les éventuelles erreurs.
Commencera ensuite la période de confection des cartes. La Ceni doit passer commande de cartes biométriques comportant la photo et l'empreinte digitale de l'électeur. Il sera possible d'aller voter avec cette seule pièce, sans présenter en plus sa carte d'identité.
En revanche, le vote par procuration, grande spécialité du régime Conté, est désormais banni. Les Guinéens de l'extérieur, eux, auront encore deux semaines à partir du 18 mars pour s'inscrire. Dans 17 pays, les ambassades et consulats vont ouvrir leurs portes à la diaspora. Lors de la première phase de recensement, 56 000 Guinéens de l'extérieur s'étaient inscrits. La Ceni espère en recenser encore, trois à quatre fois plus.
Pour ce scrutin présidentiel, la Commission électorale dispose d'un budget de 135 milliards de francs guinéens, soit 19 millions d'euros, financé à 90% par les partenaires étrangers. Une grande partie de cette somme reste encore à débourser mais les bailleurs de fonds assurent que tout sera régularisé dans les semaines à venir.
Commencera ensuite la période de confection des cartes. La Ceni doit passer commande de cartes biométriques comportant la photo et l'empreinte digitale de l'électeur. Il sera possible d'aller voter avec cette seule pièce, sans présenter en plus sa carte d'identité.
En revanche, le vote par procuration, grande spécialité du régime Conté, est désormais banni. Les Guinéens de l'extérieur, eux, auront encore deux semaines à partir du 18 mars pour s'inscrire. Dans 17 pays, les ambassades et consulats vont ouvrir leurs portes à la diaspora. Lors de la première phase de recensement, 56 000 Guinéens de l'extérieur s'étaient inscrits. La Ceni espère en recenser encore, trois à quatre fois plus.
Pour ce scrutin présidentiel, la Commission électorale dispose d'un budget de 135 milliards de francs guinéens, soit 19 millions d'euros, financé à 90% par les partenaires étrangers. Une grande partie de cette somme reste encore à débourser mais les bailleurs de fonds assurent que tout sera régularisé dans les semaines à venir.
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