
La première réelle scène de violence de la campagne électorale pour la présidentielle du 24 février 2019 a été enregistrée hier, lundi 04 février dans la langue de barbarie.
En effet, la caravane de la coalition Sonko président, a été attaquée à Saint-Louis. Le bilan fait état de quatre (4) blessés dont un dans un état grave. Les patriotes accusent le camp du pourvoir et le coordonnateur départemental de Pastef annonce avoir déposé une plainte. "La caravane de la Coalition départementale Sonko Président qui sillonnait les artères de la ville Saint Louis ce lundi 04 février 2019 a été victime d'une attaque de nervis armés d'armes blanches appartenant à la coalition Benno Bokk Yakaar, à hauteur du quartier de Pikine. Cette agression a fait plusieurs blessés dont certains dans un état grave. La Coalition condamne fermement cet acte lâche et invite les autorités à prendre, sans délais, les mesures idoines pour mettre un terme, par tous les moyens, à de tels actes qui sont de nature à installer la violence dans la campagne", peut-ion lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
En effet, la caravane de la coalition Sonko président, a été attaquée à Saint-Louis. Le bilan fait état de quatre (4) blessés dont un dans un état grave. Les patriotes accusent le camp du pourvoir et le coordonnateur départemental de Pastef annonce avoir déposé une plainte. "La caravane de la Coalition départementale Sonko Président qui sillonnait les artères de la ville Saint Louis ce lundi 04 février 2019 a été victime d'une attaque de nervis armés d'armes blanches appartenant à la coalition Benno Bokk Yakaar, à hauteur du quartier de Pikine. Cette agression a fait plusieurs blessés dont certains dans un état grave. La Coalition condamne fermement cet acte lâche et invite les autorités à prendre, sans délais, les mesures idoines pour mettre un terme, par tous les moyens, à de tels actes qui sont de nature à installer la violence dans la campagne", peut-ion lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
Sonko met en garde l'Etat
La coalition "Sonko Président" appelle l'Etat à remplir sa mission de protection de ses militants et sympathisants "qui demeurent avant tout des citoyens de la République". Sans quoi ils se verront "contraints de les défendre en toute légitimité et avec des moyens en rapport avec le niveau de violence perçu"
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