La construction du port de Ndayane, censé apporter un grand souffle au Port autonome de Dakar, va durer trois ans. C’est ce qu’a annoncé Aboubacar Sadikh Bèye, directeur général du Port de Dakar. « Si nous parvenons à un accord de avec le partenaire et les populations, nous espérons terminer la construction d'ici 3 ans », a répondu M. Bèye, invité ce dimanche de l’émission hebdomadaire, Grand jury de la Rfm.
Depuis que l’Etat a annoncé la construction d’un port dans la commune de Ndayane-Yenne, il y a plus d’un an, les populations riveraines avaient manifesté. Entre autres doléances, disent avoir déjà donné à l’Etat 600 hectares, et ne pas être disposées à lui laisser prendre encore 600 autres hectares pour la construction du futur port qui devrait s’étendre sur 444 hectares au départ.
D’un coût de 500 milliards de francs CFA, pour la première phase, le port de Ndayane suscite une vague d’ambitions économiques dans le cadre de la deuxième phase du Plan Sénégal Emergent (PSE II). Prévue pour être un port en eau profonde de 18 mètres, s’étalant sur 600 hectares, avec une capacité de 10 000 conteneurs, l’infrastructure sera l’une des plus importantes en son genre en Afrique de l’Ouest. L’objectif est de remporter la bataille de la compétitivité portuaire en raison de la position stratégique du port.
En effet, le port de Ndayane offre une belle opportunité de connexion à la Zone Economique Spéciale Intégrée, tout en bénéficiant de la proximité de l’Aéroport International Blaise Diagne de Dakar (AIBD). La première phase sera composée d’un (1) kilomètre de quai, soixante dix (70) hectares de zone portuaire et cent cinquante (150) hectares de zone logistique et de zone franche.
Depuis que l’Etat a annoncé la construction d’un port dans la commune de Ndayane-Yenne, il y a plus d’un an, les populations riveraines avaient manifesté. Entre autres doléances, disent avoir déjà donné à l’Etat 600 hectares, et ne pas être disposées à lui laisser prendre encore 600 autres hectares pour la construction du futur port qui devrait s’étendre sur 444 hectares au départ.
D’un coût de 500 milliards de francs CFA, pour la première phase, le port de Ndayane suscite une vague d’ambitions économiques dans le cadre de la deuxième phase du Plan Sénégal Emergent (PSE II). Prévue pour être un port en eau profonde de 18 mètres, s’étalant sur 600 hectares, avec une capacité de 10 000 conteneurs, l’infrastructure sera l’une des plus importantes en son genre en Afrique de l’Ouest. L’objectif est de remporter la bataille de la compétitivité portuaire en raison de la position stratégique du port.
En effet, le port de Ndayane offre une belle opportunité de connexion à la Zone Economique Spéciale Intégrée, tout en bénéficiant de la proximité de l’Aéroport International Blaise Diagne de Dakar (AIBD). La première phase sera composée d’un (1) kilomètre de quai, soixante dix (70) hectares de zone portuaire et cent cinquante (150) hectares de zone logistique et de zone franche.
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