«La surprise des travailleurs et des populations de voir avant-hier un groupuscule de médecins aigris dans plusieurs chaînes de télévision versant dans la démagogie et la surenchère de celui qui par ces agissements précités, a bloqué le système sanitaire régional un an durant avec des indicateurs de santé au plus bas niveau».
Par la voix de son Secrétaire général, le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (SUTSAS) réagit sur le mouvement d’humeur (72 heures de grève) décrété par le Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal (SAMES).
«Le SUTSAS qui s’étonnait d’assister à un procès le 25 novembre 2016 sans plaignant parce qu’il n’y avait pas de plainte à l’époque et il n’y avait pas de partie civile, découvre enfin le dénonciateur en la personne du Dr Mama Moussa Diaw que l’Ordre des médecins venait défendre en demandant le report au 28 décembre 2016. Et coup de théâtre, au moment de démarrer le procès, l’avocat de l’Ordre des Médecins demande le report du procès…», égratigne Mballo Dia Thiam.
Ce dernier d’enfoncer le clou: «C’est l’occasion pour le SUTSAS de rappeler que nous ne sommes pas dans un ministère de la Médecine mais un ministère de la Santé et de l’Action sociale où chaque acteur a la même dignité que les autres, quel que soit le nombre d’années d’études passé à l’université ou ailleurs. Tout le monde est important et aucun maillon n’est indispensable, le sectarisme voire le nombrilisme de ce groupuscule d’aventuriers médecins, ne saurait prospérer ni dans le mensonge ni dans la délation».
Le SUTSAS exige «le respect et la considération de ceux qui ne peuvent rien réussir sans les infirmiers, les sages-femmes entre autres personnels paramédicales».
Par la voix de son Secrétaire général, le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (SUTSAS) réagit sur le mouvement d’humeur (72 heures de grève) décrété par le Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal (SAMES).
«Le SUTSAS qui s’étonnait d’assister à un procès le 25 novembre 2016 sans plaignant parce qu’il n’y avait pas de plainte à l’époque et il n’y avait pas de partie civile, découvre enfin le dénonciateur en la personne du Dr Mama Moussa Diaw que l’Ordre des médecins venait défendre en demandant le report au 28 décembre 2016. Et coup de théâtre, au moment de démarrer le procès, l’avocat de l’Ordre des Médecins demande le report du procès…», égratigne Mballo Dia Thiam.
Ce dernier d’enfoncer le clou: «C’est l’occasion pour le SUTSAS de rappeler que nous ne sommes pas dans un ministère de la Médecine mais un ministère de la Santé et de l’Action sociale où chaque acteur a la même dignité que les autres, quel que soit le nombre d’années d’études passé à l’université ou ailleurs. Tout le monde est important et aucun maillon n’est indispensable, le sectarisme voire le nombrilisme de ce groupuscule d’aventuriers médecins, ne saurait prospérer ni dans le mensonge ni dans la délation».
Le SUTSAS exige «le respect et la considération de ceux qui ne peuvent rien réussir sans les infirmiers, les sages-femmes entre autres personnels paramédicales».
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