
Le Secrétaire national à la communication du parti Pastef Les Patriotes, El Malick Ndiaye, a accusé le régime en place de vouloir « assassiner dans la prison » l’opposant Ousmane Sonko, accusé de « viols répétitifs avec arme à feu et menace de mort » par une masseuse de 20 ans.
« Si Macky Sall avait le peu d’élégance que Abdoulaye Wade avait, il n’en serait pas là avec Khalifa Sall et Karim Wade (…). Il veut s’en prendre à Ousmane Sonko, mais il ne sait pas qu’il s’en prend à la population. Il faut qu’il sache que ça ne va pas passer. Ce qu’ils veulent, quand ils vont arrêter Ousmane Sonko et le mettre dans la prison, c’est de l’assassiner et le tuer à petit feu », a accusé M. Ndiaye, invité de l’émission de RFM matin.
Pour justifier ses propos, El Malick Ndiaye a déclaré avoir obtenu cela de leurs informateurs. Puis, il a expliqué cela par le fait que le régime en place a toujours montré une « haine viscérale ».
Par ailleurs, il a confié que le souhait le plus ardent, c’est de voir le Président Macky Sall « terminer son mandat avec la manière, et qu’il obtienne un poste à l’international », avant de l’inviter à « ne pas faire moins que ses prédécesseurs ».
La journée du lundi a été marquée de violentes manifestations entre les forces de l’ordre et les Pro-Sonko. Les militants ont exprimé ainsi leur mécontentement suite aux accusations de « viols avec arme à feu et menaces de mort » contre l'opposant le plus redouté par Macky Sall. Sonko a été convoqué hier lundi par la Section de recherches, mais a décidé de ne pas aller répondre en raison de son immunité parlementaire.
« Si Macky Sall avait le peu d’élégance que Abdoulaye Wade avait, il n’en serait pas là avec Khalifa Sall et Karim Wade (…). Il veut s’en prendre à Ousmane Sonko, mais il ne sait pas qu’il s’en prend à la population. Il faut qu’il sache que ça ne va pas passer. Ce qu’ils veulent, quand ils vont arrêter Ousmane Sonko et le mettre dans la prison, c’est de l’assassiner et le tuer à petit feu », a accusé M. Ndiaye, invité de l’émission de RFM matin.
Pour justifier ses propos, El Malick Ndiaye a déclaré avoir obtenu cela de leurs informateurs. Puis, il a expliqué cela par le fait que le régime en place a toujours montré une « haine viscérale ».
Par ailleurs, il a confié que le souhait le plus ardent, c’est de voir le Président Macky Sall « terminer son mandat avec la manière, et qu’il obtienne un poste à l’international », avant de l’inviter à « ne pas faire moins que ses prédécesseurs ».
La journée du lundi a été marquée de violentes manifestations entre les forces de l’ordre et les Pro-Sonko. Les militants ont exprimé ainsi leur mécontentement suite aux accusations de « viols avec arme à feu et menaces de mort » contre l'opposant le plus redouté par Macky Sall. Sonko a été convoqué hier lundi par la Section de recherches, mais a décidé de ne pas aller répondre en raison de son immunité parlementaire.
Autres articles
-
France : ce que le ministère des Affaires étrangères a dit sur l'éventuel 3e mandat de Macky Sall
-
Tensions politiques : l'APR rejette toutes formes de violence et met en garde les auteurs
-
Le Prix Nobel Wole Soyinka rejoint le combat contre le 3e mandat de Macky Sall
-
Ousmane Sonko et ses avocats déboutés par la Cour suprême
-
Sénégal-Mozambique: les supporters avec les banderoles « anti-Macky Sall » finalement libérés