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Les applications Skype, Viber et WhatsApp bientôt bloqués au Sénégal ?

La question taraude les esprits des opérateurs télécoms et de l’autorité de régulation et c’est une hypothèse envisageable si on en croit Seyni Faty, directeur de l’Economie des marchés à l’Artp. Selon ce dernier ces applications utilisent nos infrastructures sans payer de contreparties. C’est pourquoi une réflexion est entamée pour aller vers une régulation.



Les applications Skype, Viber et WhatsApp bientôt bloqués au Sénégal ?
L’Autorité de régulation des Postes et télécommunications (Artp) semble être sur la même longueur d’onde que les  des opérateurs de télécommunication sur le foisonnement des applications d’appels gratuits. D’après le directeur de l’Économie et des marchés à l’Artp, Seyni Faty, dans Le Quotidien, une réflexion est en cours pour voir comment réguler ces Over the top (service par contournement) qui sont en réalité des sociétés de services de livraison d’audio, de vidéos et d’autres médias sur internet, sans la participation d’un opérateur de réseau traditionnel dans le contrôle ou la distribution du contenu et qui ne reversent rien à ces opérateurs historiques.
 
Les opérateurs de télécommunication basés au Sénégal déplorent un manque à gagner énorme. Des pertes estimées à plusieurs centaines de milliards de nos francs. « Les Over the top, avec leur modèle économique, génèrent des revenus considérables en s’appuyant sur nos infrastructures, sans contrepartie pour les opérateurs détenteurs de licences et des États à qui ils ne reversent pas un seul centime pour le trafic terminé sur les réseaux installés sur le territoire », a dénoncé le service de communication de Sonatel dans le Quotidien.
 


Samedi 26 Décembre 2015 - 11:34


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1.Posté par zouhirmounir le 06/03/2016 20:06 (depuis mobile)
Mounir76 *

2.Posté par Lasey le 13/01/2021 10:59
De vidéos et d’autres médias sur internet, sans la participation d’un opérateur de réseau traditionnel dans le contrôle ou la distribution du contenu et qui ne reversent rien à ces opérateurs historiques.

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