La cellule de traitement de l’information financière (Centif) annonce dans son rapport, 2021-2022, que les financements du terrorisme sont quasi inexistants au Sénégal.
La Centif révèle aussi qu’elle n’a pas reçu de dossiers dans le secteur de la prolifération d’armes de destruction massive (Padm). Par ailleurs, le même document stipule qu’il existe des organisations à but non lucratif qui pourrait être utilisé comme vecteur de financement du terrorisme.
« Le traitement de quelques dossiers a permis de recenser des organismes à but non-lucratif (Obnl) qui pourraient être utilisées comme vecteur de financement du terrorisme », indique la Centif.
Par rapport à la menace subversive, le document souligne que : « La coopération avec les services d’enquêtes et de renseignements, dont la Direction générale au renseignement nationale a permis d’identifier des flux financiers mettant en cause le financement de quelques ONG établies au Sénégal. Cette situation impacte la vulnérabilité des ONG et organismes de bienfaisance au financement du terrorisme, en particulier leur rôle potentiel de canal pour transfert des fonds destinés à financer cette forme de criminalité ».
La Centif soutient que grâce au dispositif mis en place, « un système d’alerte précoce et de coordination découlant d’une action proactive des forces de sécurité et de services de renseignements permet de suivre la piste des flux financiers en cause. »
Néanmoins, « dans le cadre de la mise à jour de son évaluation, des risques, le Sénégal envisage de procéder à une évaluation nationale des risques liés au financement de la prolifération. Cette étape constitue une occasion pour pays d’atteindre un niveau d’efficacité significatif dans la mise en œuvre des sanctions financières ciblées liées à la prolifération ».
La Centif révèle aussi qu’elle n’a pas reçu de dossiers dans le secteur de la prolifération d’armes de destruction massive (Padm). Par ailleurs, le même document stipule qu’il existe des organisations à but non lucratif qui pourrait être utilisé comme vecteur de financement du terrorisme.
« Le traitement de quelques dossiers a permis de recenser des organismes à but non-lucratif (Obnl) qui pourraient être utilisées comme vecteur de financement du terrorisme », indique la Centif.
Par rapport à la menace subversive, le document souligne que : « La coopération avec les services d’enquêtes et de renseignements, dont la Direction générale au renseignement nationale a permis d’identifier des flux financiers mettant en cause le financement de quelques ONG établies au Sénégal. Cette situation impacte la vulnérabilité des ONG et organismes de bienfaisance au financement du terrorisme, en particulier leur rôle potentiel de canal pour transfert des fonds destinés à financer cette forme de criminalité ».
La Centif soutient que grâce au dispositif mis en place, « un système d’alerte précoce et de coordination découlant d’une action proactive des forces de sécurité et de services de renseignements permet de suivre la piste des flux financiers en cause. »
Néanmoins, « dans le cadre de la mise à jour de son évaluation, des risques, le Sénégal envisage de procéder à une évaluation nationale des risques liés au financement de la prolifération. Cette étape constitue une occasion pour pays d’atteindre un niveau d’efficacité significatif dans la mise en œuvre des sanctions financières ciblées liées à la prolifération ».
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