Le choix des pays de la sous-région d’aller unis à New York procède de leur engagement commun de créer des synergies dans l’action en ce qui concerne les questions environnementales, a indiqué Jean-Claude Gakosso.
Le ministre congolais des Affaires étrangères a résumé leur position en ces termes : « L’Afrique centrale va donc à New York pour dire au monde ce qu’elle fait, ce qu’elle compte faire dans les mois et années à venir et ce qu’elle attend de la communauté internationale ».
C’est la Banque de développement des États de l’Afrique qui a soutenu financièrement la réunion ayant abouti à cette prise de position. Une initiative saluée par son président Fortunato Ofa Mbo Nchama.
« L’Afrique centrale a des richesses énormes et vous connaissez la place que l’Afrique centrale occupe en terme environnemental, mais sa voix n’est pas suffisamment écoutée ailleurs au niveau des institutions (internationales) », a-t-il fait remarquer.
Expert de la CEEAC sur les questions environnementales, Honoré Tabouna a laissé entendre que l’heure n’était plus aux discours. « Le niveau de réflexion au niveau de l’Afrique centrale est suffisant pour qu’on passe vers des actions concrètes ».
Qui dit CEEAC dit bassin du Congo, deuxième poumon écologique de la planète avec un couvert végétal de 220 millions d’hectares.
Le ministre congolais des Affaires étrangères a résumé leur position en ces termes : « L’Afrique centrale va donc à New York pour dire au monde ce qu’elle fait, ce qu’elle compte faire dans les mois et années à venir et ce qu’elle attend de la communauté internationale ».
C’est la Banque de développement des États de l’Afrique qui a soutenu financièrement la réunion ayant abouti à cette prise de position. Une initiative saluée par son président Fortunato Ofa Mbo Nchama.
« L’Afrique centrale a des richesses énormes et vous connaissez la place que l’Afrique centrale occupe en terme environnemental, mais sa voix n’est pas suffisamment écoutée ailleurs au niveau des institutions (internationales) », a-t-il fait remarquer.
Expert de la CEEAC sur les questions environnementales, Honoré Tabouna a laissé entendre que l’heure n’était plus aux discours. « Le niveau de réflexion au niveau de l’Afrique centrale est suffisant pour qu’on passe vers des actions concrètes ».
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