
L’agression de Cheikh Ahmadou Bamba Souané, enseignant à Barkedji, connaît un nouveau rebondissement. Selon des informations recueillies auprès de la gendarmerie de Linguère, un frère d’une collégienne mariée accuse l’enseignant d’avoir tenté de courtiser la jeune fille.
Cheikh Ahmadou Bamba Souané rejette ces accusations, qu’il qualifie de fausses et infondées. L’enseignant a relaté les faits sur la TFM, décrivant les circonstances de son agression.
« Alors que je sortais de chez moi, j’ai reçu un appel d’une certaine S. M. Touré. Peu après avoir raccroché, j’ai appelé ma sœur, A. Souané, tout en marchant. J’ai alors entendu des pas derrière moi. En me retournant, j’ai reçu un coup de machette au visage », a-t-il raconté.
Il poursuit : « Malgré la douleur, j’ai essayé de prendre ma torche pour identifier mes agresseurs, mais ils ne m’en ont pas laissé le temps. Un autre coup a frappé ma main droite. Désemparé et impuissant, je n’ai pu que les voir s’enfuir après leur acte ».
Les suspects, actuellement en garde à vue à Louga, auraient reconnu les faits, affirmant avoir plusieurs fois mis en garde l’enseignant, qui, selon eux, aurait ignoré leurs avertissements.
Selon des informations, les enquêteurs ont entendu la collégienne, des enseignants et ses membres de sa famille. Après bouclage de l’enquête préliminaire, le frère de la collégienne et son ami ont été déférés au parquet de Louga. Ils ne sont pas encore édifiés sur leur sort dans la mesure où ils font l’objet d’un retour de parquet.
Pour rappel, Cheikh Ahmadou Bamba Souané, enseignant originaire de Bambaly Brassou (sud) en service à Loumbi Dobé, à Linguère, a été victime d’une agression sauvage dans la nuit du jeudi 16 janvier 2025.
Face à cette situation, les enseignants de la région ont exprimé leur indignation et exigé que les autorités prennent toutes les mesures nécessaires pour retrouver et traduire en justice le ou les auteurs de cette agression.
Dans un communiqué, le ministère de l’Éducation nationale a condamné avec la « plus grande fermeté cette violence inqualifiable » et a réaffirmé son « engagement à tout mettre en œuvre pour que de tels actes ne se reproduisent plus et pour garantir la sécurité et la sérénité nécessaires au bon fonctionnement de nos écoles ».
Cheikh Ahmadou Bamba Souané rejette ces accusations, qu’il qualifie de fausses et infondées. L’enseignant a relaté les faits sur la TFM, décrivant les circonstances de son agression.
« Alors que je sortais de chez moi, j’ai reçu un appel d’une certaine S. M. Touré. Peu après avoir raccroché, j’ai appelé ma sœur, A. Souané, tout en marchant. J’ai alors entendu des pas derrière moi. En me retournant, j’ai reçu un coup de machette au visage », a-t-il raconté.
Il poursuit : « Malgré la douleur, j’ai essayé de prendre ma torche pour identifier mes agresseurs, mais ils ne m’en ont pas laissé le temps. Un autre coup a frappé ma main droite. Désemparé et impuissant, je n’ai pu que les voir s’enfuir après leur acte ».
Les suspects, actuellement en garde à vue à Louga, auraient reconnu les faits, affirmant avoir plusieurs fois mis en garde l’enseignant, qui, selon eux, aurait ignoré leurs avertissements.
Selon des informations, les enquêteurs ont entendu la collégienne, des enseignants et ses membres de sa famille. Après bouclage de l’enquête préliminaire, le frère de la collégienne et son ami ont été déférés au parquet de Louga. Ils ne sont pas encore édifiés sur leur sort dans la mesure où ils font l’objet d’un retour de parquet.
Pour rappel, Cheikh Ahmadou Bamba Souané, enseignant originaire de Bambaly Brassou (sud) en service à Loumbi Dobé, à Linguère, a été victime d’une agression sauvage dans la nuit du jeudi 16 janvier 2025.
Face à cette situation, les enseignants de la région ont exprimé leur indignation et exigé que les autorités prennent toutes les mesures nécessaires pour retrouver et traduire en justice le ou les auteurs de cette agression.
Dans un communiqué, le ministère de l’Éducation nationale a condamné avec la « plus grande fermeté cette violence inqualifiable » et a réaffirmé son « engagement à tout mettre en œuvre pour que de tels actes ne se reproduisent plus et pour garantir la sécurité et la sérénité nécessaires au bon fonctionnement de nos écoles ».
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