Ne biaisons pas le projet au nom d'un soit-disant pardon, réconciliation ou que sais-je encore. Ici il s'agit d'une rupture systémique que nous avons vendu à nos concitoyens et à laquelle nous ne devons guère transiger. Dans ce combat épique, militants et sympathisants ont donné le meilleur d'eux-mêmes, au prix d'énormes sacrifices. Certains y ont perdu la vie ou mutilés, d'autres violentés, blessés, emprisonnés ou exilés.
Aujourd'hui, l'on ne saurait faire abstraction de toutes ces ignominies ou tout simplement ranger en pertes et profits ce macabre passage de notre existence qui a failli plonger notre pays dans les tréfonds de l'abîme.
Pastef regorge bel et bien d'expertises et de talents à même de prêter main forte à ce projet pour lequel nous avons donné notre souffle de vie (à compétences égales, on choisit ses proches).
La respiration de ce dessein qui nous anime est chevillée aux principes qui le cimentent et sans lesquels nous aurions immolé nos convictions et dévoyé des ambitions.
Après l'épisode Samba Ndiaye qui avait défrayé la chronique, cette nouvelle nomination tombe comme un couperet, et la pilule est dure à avaler pour toutes ces âmes encore vivantes qui ont subi balafres, persécutions, violences, tortures et toutes sortes de vilenies du défunt régime. Cette dame qui a chanté Adji Sarr, insulté la mémoire des victimes, guignolisé le projet et parrainé la désagrégation de l'unité nationale à travers ses posts ethnicistes, n'a véritablement pas sa place ici et risque d'édulcorer la ferveur et le don de soi qui se scotchent dans notre ADN.
La constance et l'abnégation drapées sous le sceau de fortes convictions nous ont valu toutes les victoires et il est temps de se ressaisir. Des couacs, erreurs et maladresses, il y en aura toujours et encore quand on exerce, l'essentiel étant de se faire violence et corriger puisque la perfection n'est pas de ce monde. Il est dès lors compréhensible de voir ces vuvuzelas de l'opposition qui n'ont aucun os à ronger, exulter et pavoiser en brandissant ce choix porté sur la dame comme un trophée de guerre.
De grâce, rectifions :
Ne dit-on pas que l'humilité est vertu et balise le chemin de la grandeur ?
Aujourd'hui, l'on ne saurait faire abstraction de toutes ces ignominies ou tout simplement ranger en pertes et profits ce macabre passage de notre existence qui a failli plonger notre pays dans les tréfonds de l'abîme.
Pastef regorge bel et bien d'expertises et de talents à même de prêter main forte à ce projet pour lequel nous avons donné notre souffle de vie (à compétences égales, on choisit ses proches).
La respiration de ce dessein qui nous anime est chevillée aux principes qui le cimentent et sans lesquels nous aurions immolé nos convictions et dévoyé des ambitions.
Après l'épisode Samba Ndiaye qui avait défrayé la chronique, cette nouvelle nomination tombe comme un couperet, et la pilule est dure à avaler pour toutes ces âmes encore vivantes qui ont subi balafres, persécutions, violences, tortures et toutes sortes de vilenies du défunt régime. Cette dame qui a chanté Adji Sarr, insulté la mémoire des victimes, guignolisé le projet et parrainé la désagrégation de l'unité nationale à travers ses posts ethnicistes, n'a véritablement pas sa place ici et risque d'édulcorer la ferveur et le don de soi qui se scotchent dans notre ADN.
La constance et l'abnégation drapées sous le sceau de fortes convictions nous ont valu toutes les victoires et il est temps de se ressaisir. Des couacs, erreurs et maladresses, il y en aura toujours et encore quand on exerce, l'essentiel étant de se faire violence et corriger puisque la perfection n'est pas de ce monde. Il est dès lors compréhensible de voir ces vuvuzelas de l'opposition qui n'ont aucun os à ronger, exulter et pavoiser en brandissant ce choix porté sur la dame comme un trophée de guerre.
De grâce, rectifions :
Ne dit-on pas que l'humilité est vertu et balise le chemin de la grandeur ?
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