Le président malien de transition, Dioncounda Traoré REUTERS/Luc Gnago
Au lendemain de cette agression, l'organisation régionale avait annoncé qu'elle mènerait les investigations nécessaires pour identifier les auteurs et les commanditaires de cet acte répréhensible mais la Cédéao n'a lancé aucune enquête. Aucune cellule spéciale n'a même été mise en place. La raison? La Cédéao a décidé de s'en remettre au gouvernement malien.
Nous sommes à l'écoute du gouvernement, explique le président de la commission de la Cédéao. Nous suivons les progrès des investigations à travers nos ambassadeurs.
A la question, le gouvernement de Modibo Diarra peut-il mener cette enquête en toute liberté et poursuivre des militaires qui seraient éventuellement impliqués, Kadré Désiré Ouédraogo répond : « Nous faisons confiance aux autorités de transition. Le gouvernement de Bamako doit assumer entièrement ses responsabilités ».
Un mois après les faits qui ont failli coûter la vie au président malien, la justice malienne a placé sous mandat de dépôt trois membres d'associations poursuivis pour troubles à l'ordre public. Deux civils, un blanchisseur et un cultivateur ont également été arrêtés dans le cadre de l'information judiciaire contre x pour tentative d'assassinat.
Pour l'heure, il n'y a eu aucune interpellation au niveau des commanditaires et de ceux qui auraient du empêcher l'agression, c'est-à-dire les forces de sécurité censées protéger le chef de l'Etat dans son palais.
Source: RFI
Nous sommes à l'écoute du gouvernement, explique le président de la commission de la Cédéao. Nous suivons les progrès des investigations à travers nos ambassadeurs.
A la question, le gouvernement de Modibo Diarra peut-il mener cette enquête en toute liberté et poursuivre des militaires qui seraient éventuellement impliqués, Kadré Désiré Ouédraogo répond : « Nous faisons confiance aux autorités de transition. Le gouvernement de Bamako doit assumer entièrement ses responsabilités ».
Un mois après les faits qui ont failli coûter la vie au président malien, la justice malienne a placé sous mandat de dépôt trois membres d'associations poursuivis pour troubles à l'ordre public. Deux civils, un blanchisseur et un cultivateur ont également été arrêtés dans le cadre de l'information judiciaire contre x pour tentative d'assassinat.
Pour l'heure, il n'y a eu aucune interpellation au niveau des commanditaires et de ceux qui auraient du empêcher l'agression, c'est-à-dire les forces de sécurité censées protéger le chef de l'Etat dans son palais.
Source: RFI
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