« Ce dont nous avons été témoins la semaine dernière à la Maison du Parti socialiste (Dakar) est une illustration du monde de fonctionnement du Parti socialiste d’aujourd’hui. Barthélémy Dias, (maire socialiste de Sicap – Mermoz), a fait irruption dans une réunion de Convergence socialiste à laquelle il n’avait pas été convié, accompagné de membres de sa mairie qui ne faisaient pas partie de Convergence. Il ordonne à l’un de ses gardes du corps d’agresser une de nos militantes qui s’interposait. Et lorsque celui-ci refuse, il empoigne, lui-même, la jeune femme avant que celle-ci ne se fasse gifler pas son jeune frère qui était présent », témoigne Malick Noël Seck dans les colonnes du même journal.
Pour le leader de « Convergence socialiste », le comportement de son « frère d’armes » s’explique par « les échecs successifs de notre Secrétaire général (Ousmane Tanor Dieng), le départ de nos cadres les plus brillants et de militants qui ont dévolu leur vie au parti. C’est l’ensemble de tous ces actes qui ont fini de nous diviser ».
« Cette division est liée à la façon dont Ousmane Tanor Dieng gère la chose politique, c’est-à-dire par le clientélisme, la création d’un clan et d’une garde prétorienne censée le préserver de tous ceux qui pourraient nuire à son image au sein du parti. Il est loin le temps ou la promotion au sein du parti se mesurait au mérite, à l’expérience et aux qualifications. … Aujourd’hui, Barthélémy Dias fait partie de cette garde prétorienne qui a été grassement récompensée et de qui, on attend une obéissance sans réserve », informe Malick Noël Seck.
En ce qui concerne l’état actuel de ses relations avec le « jeune maire socialiste », Malick Noêl répond sans ambages. « Des idées nous rapprochaient, des idées peuvent nous séparer. Entre Barthélémy Dias et le Sénégal, je choisis sans aucune hésitation le Sénégal. La femme qu’il a frappée ce soir-là, Selli Bâ, est une jeune militante qui s’est fait matraquer par la police lorsqu’elle manifestait pour sa libération au soir du 24 décembre dernier. Ce sont ces gens qu’il a trahis pour Tanor, c’est pour cela que les membres de Convergence ont été révoltés par son attitude, la semaine dernière », soutient M. Seck.
La coalition entre son parti (Ps) et la mouvance présidentielle (Bennoo Bokk Yakaar), pour lui, « le parti socialiste aurait pu se passer de cette alliance. Nous aurions pu nous concentrer sur nos 10% au lieu de nous empresser de nouer des alliances hâtives en s’agrippant à la victoire de Macky Sall ».
Plus loin, dans le journal, Malick Noêl Seck soutient que : « le Ps doit démissionner de cette alliance. Ça nous fait peur. Il faut qu’il y ait un contre-pouvoir ».
Pour le leader de « Convergence socialiste », le comportement de son « frère d’armes » s’explique par « les échecs successifs de notre Secrétaire général (Ousmane Tanor Dieng), le départ de nos cadres les plus brillants et de militants qui ont dévolu leur vie au parti. C’est l’ensemble de tous ces actes qui ont fini de nous diviser ».
« Cette division est liée à la façon dont Ousmane Tanor Dieng gère la chose politique, c’est-à-dire par le clientélisme, la création d’un clan et d’une garde prétorienne censée le préserver de tous ceux qui pourraient nuire à son image au sein du parti. Il est loin le temps ou la promotion au sein du parti se mesurait au mérite, à l’expérience et aux qualifications. … Aujourd’hui, Barthélémy Dias fait partie de cette garde prétorienne qui a été grassement récompensée et de qui, on attend une obéissance sans réserve », informe Malick Noël Seck.
En ce qui concerne l’état actuel de ses relations avec le « jeune maire socialiste », Malick Noêl répond sans ambages. « Des idées nous rapprochaient, des idées peuvent nous séparer. Entre Barthélémy Dias et le Sénégal, je choisis sans aucune hésitation le Sénégal. La femme qu’il a frappée ce soir-là, Selli Bâ, est une jeune militante qui s’est fait matraquer par la police lorsqu’elle manifestait pour sa libération au soir du 24 décembre dernier. Ce sont ces gens qu’il a trahis pour Tanor, c’est pour cela que les membres de Convergence ont été révoltés par son attitude, la semaine dernière », soutient M. Seck.
La coalition entre son parti (Ps) et la mouvance présidentielle (Bennoo Bokk Yakaar), pour lui, « le parti socialiste aurait pu se passer de cette alliance. Nous aurions pu nous concentrer sur nos 10% au lieu de nous empresser de nouer des alliances hâtives en s’agrippant à la victoire de Macky Sall ».
Plus loin, dans le journal, Malick Noêl Seck soutient que : « le Ps doit démissionner de cette alliance. Ça nous fait peur. Il faut qu’il y ait un contre-pouvoir ».
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