Me Mbaye Jacques Ndiaye n’en peut plus des prolongements de l’instruction du dossier de sa cliente. C’est ce qu’il a fait savoir, reprochant au passage à la Crei d’avoir adopté cette ligne dans le but de nuire à l’ex sénatrice libérale.
«C’est manifestement illégal et inhumain. Premièrement la Crei ne peut pas instruire au-delà de six mois. Deuxièmement on nous dit que c’est parce que le travail de l’expert n’est pas terminé. Lorsque la mission de ce dernier n’est pas accomplie dans les délais qui lui ont été impartis, il doit être remplacé d’office », tempête le coordonnateur des avocats d’Aïda Ndiongue, qui relève l’incongruité de la durée de l’instruction qui a déjà été repoussée à plusieurs reprises.
Quant à la situation financière de sa cliente, l’avocat la juge catastrophique : «Aussi étonnant que cela puisse paraître, à ce jour, aucun de ses biens, ni argent, ni bijoux, ni maison, ne lui a été restitué. Aïda Ndiongue n’a plus de quoi vivre et est plus proche de la déchéance qu’autre chose», se désole-t-il.
«C’est manifestement illégal et inhumain. Premièrement la Crei ne peut pas instruire au-delà de six mois. Deuxièmement on nous dit que c’est parce que le travail de l’expert n’est pas terminé. Lorsque la mission de ce dernier n’est pas accomplie dans les délais qui lui ont été impartis, il doit être remplacé d’office », tempête le coordonnateur des avocats d’Aïda Ndiongue, qui relève l’incongruité de la durée de l’instruction qui a déjà été repoussée à plusieurs reprises.
Quant à la situation financière de sa cliente, l’avocat la juge catastrophique : «Aussi étonnant que cela puisse paraître, à ce jour, aucun de ses biens, ni argent, ni bijoux, ni maison, ne lui a été restitué. Aïda Ndiongue n’a plus de quoi vivre et est plus proche de la déchéance qu’autre chose», se désole-t-il.
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