Un atelier d’échanges de trois jours sur la lutte contre les Mutilations génitales féminines et l’excision (MGF/E) s’est tenu à Sédhiou (Sud), organisé par le consortium formé par Options Consulting Services et l’ONG Amref Health Africa. L’objectif principal de cette rencontre est de partager des expériences et des bonnes pratiques avec les jeunes filles leaders de Sédhiou, afin qu’elles puissent les dupliquer dans les régions de Kolda, Tambacounda, Kédougou et Sédhiou.
« L’objectif de cette rencontre est de partager des expériences et des bonnes pratiques avec les jeunes filles du terroir qui ont réussi à mobiliser leurs communautés et à animer des dialogues communautaires sur l’élimination des MGF/E », a expliqué Kory Sène, coordonnateur d’Options Consulting Services à l’Aps.
L’atelier a mis l’accent sur « le renforcement des efforts d’élimination des MGF/E à travers plusieurs actions concrètes, puis que la mutilation génitale féminine demeure un problème de santé publique et de droits humains majeurs dans plusieurs régions du Sénégal », a ajouté M. Sène.
Les participantes, venues de Kolda, Kédougou, Tambacounda et Sédhiou, ont bénéficié de formation afin de connaître les stratégies réussies mises en œuvre à Sédhiou, de rencontrer les gardiens des traditions, et de discuter des méthodes d’animation des dialogues communautaires. Ces échanges visent également à promouvoir une coopération renforcée entre les jeunes filles des différentes régions pour une action « concrète et efficace ».
Présent à l’ouverture de l’atelier, l’adjoint au préfet du département de Sédhiou, Moctar Ndiaye, a salué la mobilisation des jeunes filles dans cette lutte contre les MGF/E. « Aujourd’hui, notre rôle est de travailler en équipe pour trouver des voies et moyens efficaces pour éradiquer ce fléau d’ici 2030 », a-t-il déclaré, affirmant que l’administration continuera d’accompagner ces initiatives.
La rencontre s’inscrit dans le cadre d’un programme plus large soutenu par le gouvernement britannique, via le Foreign Commonwealth and Development Office (FCDO) et d’autres partenaires comme l’ONG Population Council. Ce programme vise à « renforcer les capacités locales et à travailler en étroite collaboration avec divers participants internationaux et organisations locales », ont souligné les organisateurs repris par le journal.
L’initiative cherche à créer un réseau de jeunes filles leaders capables de promouvoir des changements positifs dans les attitudes sociales pour mettre fin aux mutilations génitales féminines et à l’excision au Sénégal.
« L’objectif de cette rencontre est de partager des expériences et des bonnes pratiques avec les jeunes filles du terroir qui ont réussi à mobiliser leurs communautés et à animer des dialogues communautaires sur l’élimination des MGF/E », a expliqué Kory Sène, coordonnateur d’Options Consulting Services à l’Aps.
L’atelier a mis l’accent sur « le renforcement des efforts d’élimination des MGF/E à travers plusieurs actions concrètes, puis que la mutilation génitale féminine demeure un problème de santé publique et de droits humains majeurs dans plusieurs régions du Sénégal », a ajouté M. Sène.
Les participantes, venues de Kolda, Kédougou, Tambacounda et Sédhiou, ont bénéficié de formation afin de connaître les stratégies réussies mises en œuvre à Sédhiou, de rencontrer les gardiens des traditions, et de discuter des méthodes d’animation des dialogues communautaires. Ces échanges visent également à promouvoir une coopération renforcée entre les jeunes filles des différentes régions pour une action « concrète et efficace ».
Présent à l’ouverture de l’atelier, l’adjoint au préfet du département de Sédhiou, Moctar Ndiaye, a salué la mobilisation des jeunes filles dans cette lutte contre les MGF/E. « Aujourd’hui, notre rôle est de travailler en équipe pour trouver des voies et moyens efficaces pour éradiquer ce fléau d’ici 2030 », a-t-il déclaré, affirmant que l’administration continuera d’accompagner ces initiatives.
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