Parmi la quarantaine de politiciens poursuivis pour corruption dans la liste rendu publique par l’EFCC, la Commission contre le crime économique et financier, figurent treize anciens gouverneurs d’Etats, cinq anciens ministres, trois députés et deux sénateurs.
La liste compte même un candidat à l'élection présidentielle, Orji Kalu, soupçonné d'être impliqué dans 107 cas de fraudes et autres détournements pour un montant total de cinq milliards de nairas, soit quelque vingt-quatre millions d’euros.
Une liste qui n'est pas du goût des autorités
La Commission appelle donc les partis politiques à revoir leur copies et à ne pas accepter la candidature des personnes citées. Bien sûr, certains politiciens sont déjà en campagne pour l'un des cinq scrutins prévus en 2011 mais la parution de cette liste fait des vagues.
Elle ne serait d’ailleurs pas du goût des autorités. Selon le quotidien Next, le gouvernement fédéral par la plume de son ministre de la Justice, Mohammed Bello Adoke, aurait rappelé la Commission à l’ordre.
Dans un courrier adressé à la directrice de l’EFCC, Abuja aurait conseillé « à toutes les agences gouvernementales de modérer leurs propos » et rappelé que « seul le tribunal à le pouvoir de disqualifier un candidat ».
La liste compte même un candidat à l'élection présidentielle, Orji Kalu, soupçonné d'être impliqué dans 107 cas de fraudes et autres détournements pour un montant total de cinq milliards de nairas, soit quelque vingt-quatre millions d’euros.
Une liste qui n'est pas du goût des autorités
La Commission appelle donc les partis politiques à revoir leur copies et à ne pas accepter la candidature des personnes citées. Bien sûr, certains politiciens sont déjà en campagne pour l'un des cinq scrutins prévus en 2011 mais la parution de cette liste fait des vagues.
Elle ne serait d’ailleurs pas du goût des autorités. Selon le quotidien Next, le gouvernement fédéral par la plume de son ministre de la Justice, Mohammed Bello Adoke, aurait rappelé la Commission à l’ordre.
Dans un courrier adressé à la directrice de l’EFCC, Abuja aurait conseillé « à toutes les agences gouvernementales de modérer leurs propos » et rappelé que « seul le tribunal à le pouvoir de disqualifier un candidat ».
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