« Le taux d’urbanisation qui était en 1960 de 23 % est passé à 45,2 % en 2013. Il sera, selon toutes les projections à 50,3 %, en 2030. Dans douze (12) ans plus précisément, plus d’un (1) sénégalais sera citadin. Si, cette prévision se confirme, il faut anticiper sur la politique de la ville, sur l’accès, sur l’habitat parce que nous ne pourrons pas continuer à habiter dans des villas », dixit Macky Sall.
Le Chef de l’Etat qui présidait le deuxième salon de l’habitat, n’a pas manqué d’inviter les promoteurs immobiliers et les architectes à utiliser les nouvelles technologies de constructions pour une rapidité dans le travail. « La manière dont nous construisons brique après brique, est complètement dépassé. Il faut donc que les nouvelles technologies de construction soient adaptées. Il y a déjà au Sénégal des entreprises qui ont commencé ce travail remarquable. Il faut que le salon permette à ceux qui exposent des matériaux de construction, des nouvelles technologies, qu’on puisse adapter, apprivoiser, intégrer ces méthodes pour répondre justement à ce besoin de logement. Et, nous devrions aller au moins autour de 30.000 logements par an dans les toutes prochaines années », a-t-il lancé.
Selon le ministre du Renouveau urbain, de l'Habitat et du Cadre de vie, des mesures sont prises pour régler cette problématique selon laquelle la demande est immense et l’accès très difficile et d’un habitat à coût de millions dans un pays où le taux de pauvreté s’élève à 46,6 %. Ce, alors qu’un logement social devient un droit pout tout individu. «Pour les logements sociaux, on exige à ce que le prix unitaire soit fixé à dix (10), vingt (20) millions mais parce que simplement le foncier est gratuit, donc le coût de sortie doit baisser normalement », a relavé Diène Farba Sarr.
Le Chef de l’Etat qui présidait le deuxième salon de l’habitat, n’a pas manqué d’inviter les promoteurs immobiliers et les architectes à utiliser les nouvelles technologies de constructions pour une rapidité dans le travail. « La manière dont nous construisons brique après brique, est complètement dépassé. Il faut donc que les nouvelles technologies de construction soient adaptées. Il y a déjà au Sénégal des entreprises qui ont commencé ce travail remarquable. Il faut que le salon permette à ceux qui exposent des matériaux de construction, des nouvelles technologies, qu’on puisse adapter, apprivoiser, intégrer ces méthodes pour répondre justement à ce besoin de logement. Et, nous devrions aller au moins autour de 30.000 logements par an dans les toutes prochaines années », a-t-il lancé.
Selon le ministre du Renouveau urbain, de l'Habitat et du Cadre de vie, des mesures sont prises pour régler cette problématique selon laquelle la demande est immense et l’accès très difficile et d’un habitat à coût de millions dans un pays où le taux de pauvreté s’élève à 46,6 %. Ce, alors qu’un logement social devient un droit pout tout individu. «Pour les logements sociaux, on exige à ce que le prix unitaire soit fixé à dix (10), vingt (20) millions mais parce que simplement le foncier est gratuit, donc le coût de sortie doit baisser normalement », a relavé Diène Farba Sarr.
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