Ouverture de L'UGB de St-Louis : les étudiants posent leurs exigences
Les étudiants de l’Université Gaston berger (Ugb) de Saint-Louis posent leurs exigences, après que l’annonce a été faite sur l’ouverture du Campus social, le 30 octobre prochain. Ces étudiants veulent la prolongation des cours d’un mois à la fin de l’année académique pour rattraper le temps perdu et interpellent les autorités par rapport au retard qu’ils ont accusé.
Aliou Gueye président de la Coordination des étudiants de l’UGB de Saint Louis réagit au micro de Rfm : « un étudiant n’est étudiant qu’en étudiant. Tout ce que nous réclamons est que les UFR programment les cours. Et nous interpellons l’assemble des acteurs, et ceci demande l’engagement de tout un chacun. Parce que l’Université a perdu un mois de cours au début de l’année. Un mois de cours avec un nombre d’horaires exorbitant. Pour le rattraper il faut des sacrifices. Car, on est en période électorale, une année incertaine pour l’éducation. »
Aliou Gueye président de la Coordination des étudiants de l’UGB de Saint Louis réagit au micro de Rfm : « un étudiant n’est étudiant qu’en étudiant. Tout ce que nous réclamons est que les UFR programment les cours. Et nous interpellons l’assemble des acteurs, et ceci demande l’engagement de tout un chacun. Parce que l’Université a perdu un mois de cours au début de l’année. Un mois de cours avec un nombre d’horaires exorbitant. Pour le rattraper il faut des sacrifices. Car, on est en période électorale, une année incertaine pour l’éducation. »
Autres articles
-
Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide
-
Grand Yoff : deux individus arrêtés pour cambriolages en série et blanchiment de capitaux
-
Kédougou : les fidèles invités à prier pour les enfants et chrétiens privés de Noël
-
Noël 2025 : le Président Bassirou Diomaye Faye adresse un message de paix et de solidarité à la communauté chrétienne
-
Université de Kolda : le directeur du CROUS/Z justifie la fermeture du restaurant




Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide


