Abdou Latif Coulibaly, porte-parole du président de la République, a réitéré dimanche la confiance du chef de l’Etat à la commission chargée de l’écriture de « l’Histoire général du Sénégal», le Pr Iba Der Thiam et son équipe, malgré la polémique née de la publication du tome 3.
« Le président a mis en place la commission en faisant confiance à la dimension scientifique de ceux qui la compose et ceux qui l’a dirige. Hier il n’a pas interféré dans ce travail, aujourd’hui, il ne le fera pas. Il laisse aux scientifique qui ont la responsabilité d’élaborer ce travail de donner des répondes idoines par rapport à ce qui est dit », explique-t-il.
Latif Coulibaly estime que ce serait une erreur de laisser les politiques décider à la place des scientifiques, ajoutant que la position de sagesse que tenait le président hier, est la même qu’aujourd’hui.
Abordant la question de la polémique, le porte-parole soutient que si les ethnies contestent il faut qu’ils fassent quelque chose, idem pour les joueurs. « Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Le président fait confiance à une commission qui travaille e qui viendra lui rendre compte et ensemble, ils vont décider de ce qu’il faut faire ».
Au Sénégal, plusieurs familles de religieux accusent les auteurs de la collection de livres à propos de l’histoire du pays d’avoir commis des erreurs factuelles. Vendredi, le porte-parole du khalife général des Mourides a demandé à ce que l’intégralité de l’histoire de la confrérie soit revue par les historiens. Le comité de rédaction reconnaît les erreurs et a décidé de corriger ce qui fâche. Mais un certain nombre est déjà écoulé.
« Le président a mis en place la commission en faisant confiance à la dimension scientifique de ceux qui la compose et ceux qui l’a dirige. Hier il n’a pas interféré dans ce travail, aujourd’hui, il ne le fera pas. Il laisse aux scientifique qui ont la responsabilité d’élaborer ce travail de donner des répondes idoines par rapport à ce qui est dit », explique-t-il.
Latif Coulibaly estime que ce serait une erreur de laisser les politiques décider à la place des scientifiques, ajoutant que la position de sagesse que tenait le président hier, est la même qu’aujourd’hui.
Abordant la question de la polémique, le porte-parole soutient que si les ethnies contestent il faut qu’ils fassent quelque chose, idem pour les joueurs. « Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Le président fait confiance à une commission qui travaille e qui viendra lui rendre compte et ensemble, ils vont décider de ce qu’il faut faire ».
Au Sénégal, plusieurs familles de religieux accusent les auteurs de la collection de livres à propos de l’histoire du pays d’avoir commis des erreurs factuelles. Vendredi, le porte-parole du khalife général des Mourides a demandé à ce que l’intégralité de l’histoire de la confrérie soit revue par les historiens. Le comité de rédaction reconnaît les erreurs et a décidé de corriger ce qui fâche. Mais un certain nombre est déjà écoulé.
Autres articles
-
Droits de l’Homme : Ousmane Sonko reçoit un prix d’honneur de la CNDH
-
Rufisque : arrestation de l’acteur Arona Benga et trois autres personnes dans une affaire de trafic de drogue
-
Affaire des ressortissants sénégalais en France : le ministère de la Justice réagit aux propos de l’Ambassadrice Christine Fages
-
Annulation des arrêtés du MCTN : ARTICLE 19 appelle à une réforme profonde du cadre légal de la presse
-
Diamaguène–Sicap Mbao : arrestation d’un individu impliqué dans plusieurs affaires criminelles




Droits de l’Homme : Ousmane Sonko reçoit un prix d’honneur de la CNDH


