« C’est le parti qui décidera », répondait Alpha Condé, interrogé sur sa possible candidature à un troisième mandat lors de la prochaine élection présidentielle.
Sékou Condé, secrétaire permanent du RPG-AEC, n’est pas défavorable à un tel scénario, mais tout se décidera lors de la prochaine convention du parti, explique-t-il : « Le peuple de Guinée sait aujourd'hui, dans sa majorité, ce que le président Alpha Condé a fait en République de Guinée. en moins de dix ans de mandat, moi, quelqu'un qui est bon, je ne le change pas. »
Mais l’actuelle Constitution limite à deux le nombre de mandats présidentiels. Le parti mène donc la campagne pour le double scrutin couplant législatives et référendum constitutionnel prévu le premier mars.
« Je pense qu'il ne pourra pas modifier la Constitution, estime Cellou Dalein Diallo, chef de file de l’opposition. J'ai cette conviction, les Guinéens n'en veulent pas, ils l'ont montré à plusieurs reprises et je sais qu'ils vont continuer dans les deux ou trois semaines qui restent à empêcher cette consultation qui est illégale, inopportune et qui remet en cause les maigres acquis démocratiques dans notre pays. »
« Nous userons de tous les moyens légaux » dit le FNDC qui regroupe l’essentiel de la société civile et de l’opposition politique et dont les manifestations reprennent ce mercredi.
Sékou Condé, secrétaire permanent du RPG-AEC, n’est pas défavorable à un tel scénario, mais tout se décidera lors de la prochaine convention du parti, explique-t-il : « Le peuple de Guinée sait aujourd'hui, dans sa majorité, ce que le président Alpha Condé a fait en République de Guinée. en moins de dix ans de mandat, moi, quelqu'un qui est bon, je ne le change pas. »
Mais l’actuelle Constitution limite à deux le nombre de mandats présidentiels. Le parti mène donc la campagne pour le double scrutin couplant législatives et référendum constitutionnel prévu le premier mars.
« Je pense qu'il ne pourra pas modifier la Constitution, estime Cellou Dalein Diallo, chef de file de l’opposition. J'ai cette conviction, les Guinéens n'en veulent pas, ils l'ont montré à plusieurs reprises et je sais qu'ils vont continuer dans les deux ou trois semaines qui restent à empêcher cette consultation qui est illégale, inopportune et qui remet en cause les maigres acquis démocratiques dans notre pays. »
« Nous userons de tous les moyens légaux » dit le FNDC qui regroupe l’essentiel de la société civile et de l’opposition politique et dont les manifestations reprennent ce mercredi.
Autres articles
-
Expulsions en Algérie : 11 migrants meurent de soif dans le désert, selon Alarme Phone Sahara
-
Togo: installation de la nouvelle Assemblée nationale inaugurant la Vᵉ République
-
Haïti: le déploiement de troupes kényanes toujours contesté par l'opposition à Nairobi
-
Brice Ahounou, anthropologue franco-béninois: «Il serait urgent que les frères d’Afrique viennent au secours d’Haïti»
-
Gabon: ce que dit la plainte pour séquestration et torture de la famille Bongo