« C’était une omission, un malentendu. Nous n’avons pas été là parce que nous n’étions pas informés ».
RFI: Sinon, vous auriez été présent ?
« Bien sûr. Parce que nous jouons à fond la carte de l’unité de l’opposition ».
RFI: on vous a peu entendu depuis le 24 août. Est-ce qu’il y avait une volonté de garder le silence en attendant de voir ce qui se passait ?
« Bien sûr. Il faut d’abord lire tous les tableaux avant de commenter. On n’avait donc pas à faire des supputations. Pour bien observer les choses, on a beaucoup plus besoin des yeux que de la bouche ».
RFI: est-ce que vous êtes prêt à vous associer au futures actions décidées par l’opposition ?
« Bien évidemment. La prochaine réunion est programmée pour lundi à 11 heures, d’après ce qui m’a été dit et nous essaierons (d'y être). Ce sont nos amis, il n’y a pas de problèmes entre nous. Nous disons non à la machine à voter, nous disons non à l’insécurisation, nous disons non aux enrôlés sans empreinte. Nous avons le même discours ».
L’ex-Premier ministre Adolphe Muzito, également a l’étranger, explique lui qu’il n’a pas eu le temps de s’organiser pour assister à la réunion de vendredi mais qu'il s’associe pleinement à la démarche de l'opposition. Il a discuté plus tôt dans la semaine à Bruxelles avec Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi.
RFI: Sinon, vous auriez été présent ?
« Bien sûr. Parce que nous jouons à fond la carte de l’unité de l’opposition ».
RFI: on vous a peu entendu depuis le 24 août. Est-ce qu’il y avait une volonté de garder le silence en attendant de voir ce qui se passait ?
« Bien sûr. Il faut d’abord lire tous les tableaux avant de commenter. On n’avait donc pas à faire des supputations. Pour bien observer les choses, on a beaucoup plus besoin des yeux que de la bouche ».
RFI: est-ce que vous êtes prêt à vous associer au futures actions décidées par l’opposition ?
« Bien évidemment. La prochaine réunion est programmée pour lundi à 11 heures, d’après ce qui m’a été dit et nous essaierons (d'y être). Ce sont nos amis, il n’y a pas de problèmes entre nous. Nous disons non à la machine à voter, nous disons non à l’insécurisation, nous disons non aux enrôlés sans empreinte. Nous avons le même discours ».
L’ex-Premier ministre Adolphe Muzito, également a l’étranger, explique lui qu’il n’a pas eu le temps de s’organiser pour assister à la réunion de vendredi mais qu'il s’associe pleinement à la démarche de l'opposition. Il a discuté plus tôt dans la semaine à Bruxelles avec Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi.
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