Après avoir été débouté de son recours aux fins d’annulation du décret présidentiel le révoquant de ses fonctions de maire de Dakar, le 11 juillet dernier, la Chambre administrative de la Cour suprême va se pencher, ce mardi 16 juillet 2019, sur le rabat d’arrêt introduit par les avocats de Khalifa Ababacar Sall. Un dossier judiciaire qui va se jouer sur trois fronts devant les chambres réunies de ladite juridiction,
Le président de la chambre criminelle de la Cour suprême, Amadou Baal, avait rejeté, le jeudi 3 janvier 2019, le pourvoi en cassation introduit par les avocats de Khalifa Ababacar Sall contre la décision de la Cour d'appel de Dakar qui l'avait condamné à 5 ans d'emprisonnement ferme.
Et les avocats de l’ex-maire de Dakar qui ne comptent pas lâcher du lest dans cette affaire judiciaire avaient également déposé une requête enregistrée le 8 février 2019, au Greffe central sous le numéro J/040/RG/19 du rôle général de la haute juridiction, pour contester l'arrêt pris en cassation pour "erreur manifeste".
Pour rappel, l'ex-maire de la ville de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, est emprisonné depuis le 7 mars 2017, dans l'affaire dite de la caisse d'avance. Le gouvernement sénégalais l'avait poursuivi pour détournement de deniers publics d'un montant de 1,8 milliard F CFA.
Le président de la chambre criminelle de la Cour suprême, Amadou Baal, avait rejeté, le jeudi 3 janvier 2019, le pourvoi en cassation introduit par les avocats de Khalifa Ababacar Sall contre la décision de la Cour d'appel de Dakar qui l'avait condamné à 5 ans d'emprisonnement ferme.
Et les avocats de l’ex-maire de Dakar qui ne comptent pas lâcher du lest dans cette affaire judiciaire avaient également déposé une requête enregistrée le 8 février 2019, au Greffe central sous le numéro J/040/RG/19 du rôle général de la haute juridiction, pour contester l'arrêt pris en cassation pour "erreur manifeste".
Pour rappel, l'ex-maire de la ville de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, est emprisonné depuis le 7 mars 2017, dans l'affaire dite de la caisse d'avance. Le gouvernement sénégalais l'avait poursuivi pour détournement de deniers publics d'un montant de 1,8 milliard F CFA.
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