Il s'agissait d'une visite « à l’initiative du gouvernement russe », a confirmé à RFI Siteny Randrianasoloniaiko, le président de l'Assemblée nationale malgache. C’est lui aussi qui a assuré que cette délégation russe avait été menée par le général Andreï Averianov, dont le décès avait été évoqué la semaine passée à la suite de l’attaque ukrainienne menée contre un pétrolier fantôme russe.
Arrivée samedi 20 et repartie dimanche 21 décembre, la délégation a rencontré le président de la Refondation, le colonel Michael Randrianirina. Parmi les sujets évoqués, le renforcement de la sécurité du pays et la protection personnelle du chef de l’État, qui a plusieurs fois affirmé se sentir menacé. « Les Russes ont proposé de former notre armée. Nous avons accepté. Mais n’avons encore rien signé », souligne Siteny Randrianasoloniaiko.
Des équipements offerts par les Russes
Les Russes ont offert quelques équipements à leurs hôtes : « Seize drones kamikazes, cinquante armes de poing et cinquante kalachnikov », selon le parlementaire. « Le plus important pour nous, c’est la transparence. On ne cache rien », a-t-il insisté. L’ancien membre de l’opposition a tenu à rappeler, à l’égard des Occidentaux, que ni le colonel ni lui n’étaient contre aucun pays. « Nous voulons juste des relations bilatérales gagnant-gagnant. »
De son côté, le gouvernement, qui avait pourtant indiqué préparer une communication au sujet de cette visite, ne s’est toujours pas exprimé.
Arrivée samedi 20 et repartie dimanche 21 décembre, la délégation a rencontré le président de la Refondation, le colonel Michael Randrianirina. Parmi les sujets évoqués, le renforcement de la sécurité du pays et la protection personnelle du chef de l’État, qui a plusieurs fois affirmé se sentir menacé. « Les Russes ont proposé de former notre armée. Nous avons accepté. Mais n’avons encore rien signé », souligne Siteny Randrianasoloniaiko.
Des équipements offerts par les Russes
Les Russes ont offert quelques équipements à leurs hôtes : « Seize drones kamikazes, cinquante armes de poing et cinquante kalachnikov », selon le parlementaire. « Le plus important pour nous, c’est la transparence. On ne cache rien », a-t-il insisté. L’ancien membre de l’opposition a tenu à rappeler, à l’égard des Occidentaux, que ni le colonel ni lui n’étaient contre aucun pays. « Nous voulons juste des relations bilatérales gagnant-gagnant. »
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