Si la gestion et la configuration de la RTS (Radio Télévision sénégalaise) ont changé ou pas. Le journaliste René Massiga Diouf ne peut rien affirmer pour le moment. " Pour soutenir un changement, il y a un ensemble de Paramètres à prendre en compte", fait-il remarquer. Mais selon lui, il y a toutefois une « volonté d'opérer des changements. Et cela, s'est remarquée à travers l'accessibilité de la RTS, qui est désormais ouvert à l'opposition ».
Mais pour lui, il faut combiner beaucoup d'aspects pour pose les jalons d'un véritable changement. « La RTS est une grande boîte, qui emploie plus de 1000 agents, il faut un bon management pour booster la RTS ». En plus, soutient-il, il y a beaucoup de cadres au sein de la RTS ».
Revenant sur le problème du fond commun, il estime que celui-ci est un droit pour les travailleurs. Selon lui, ce sont les « gens qui évaluent la situation alors que 200 millions pour plus de 1000 agents, c'est presque 140 000 FCFA ou 130 000 FCFA annuellement, ce qui est insignifiant ».
Concernant la gestion des personnels notamment la situation de certains journalistes qui se disent mis au Frigo. Pour lui, cela dépend de la méthode et du ménagement de chaque directeur. « Il y a des gens qui sont lents et ils peuvent traîner le pied », soutient-il.
Prenant son cas personnel, il affirme que cela fait 5 ans qu'il est dans l'ombre et coordonne une émission à la RTS. " Cela fait 20 ans que je suis à la RTS alors que je ne bénéficie d'aucun avancement, je suis docteur en sciences politiques, j’ai travaillé dans le système des Nations Unies et à Walfadjri", a-t-il révélé.
À cet effet, il prône un état d'avancement des reporters et journalistes en fonction des nombres d'années de pratique."Et pourtant, j'ai toujours travaillé pendant 20 ans à la RTS", confie-t-il. Il soutient aussi qu'il a pourtant l'expérience et l'expertise nécessaire pour être à la tête d'un département.
Mais pour lui, il faut combiner beaucoup d'aspects pour pose les jalons d'un véritable changement. « La RTS est une grande boîte, qui emploie plus de 1000 agents, il faut un bon management pour booster la RTS ». En plus, soutient-il, il y a beaucoup de cadres au sein de la RTS ».
Revenant sur le problème du fond commun, il estime que celui-ci est un droit pour les travailleurs. Selon lui, ce sont les « gens qui évaluent la situation alors que 200 millions pour plus de 1000 agents, c'est presque 140 000 FCFA ou 130 000 FCFA annuellement, ce qui est insignifiant ».
Concernant la gestion des personnels notamment la situation de certains journalistes qui se disent mis au Frigo. Pour lui, cela dépend de la méthode et du ménagement de chaque directeur. « Il y a des gens qui sont lents et ils peuvent traîner le pied », soutient-il.
Prenant son cas personnel, il affirme que cela fait 5 ans qu'il est dans l'ombre et coordonne une émission à la RTS. " Cela fait 20 ans que je suis à la RTS alors que je ne bénéficie d'aucun avancement, je suis docteur en sciences politiques, j’ai travaillé dans le système des Nations Unies et à Walfadjri", a-t-il révélé.
À cet effet, il prône un état d'avancement des reporters et journalistes en fonction des nombres d'années de pratique."Et pourtant, j'ai toujours travaillé pendant 20 ans à la RTS", confie-t-il. Il soutient aussi qu'il a pourtant l'expérience et l'expertise nécessaire pour être à la tête d'un département.
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