La Direction des Laboratoires, dans le cadre de l'accompagnement du laboratoire de biologie médicale (LBM) à la démarche qualité, a mis en place un programme d'évaluation externe de la qualité pour améliorer de manière régulière la fiabilité des résultats des analyses de biologie médicale. Cet exercice a rencontré un fort taux de participation, avec près de 95% des 55 laboratoires sollicités du secteur public et privé ayant pris part à cette initiative.
« C’est le laboratoire qui permet souvent de poser le diagnostic. C’est même le laboratoire qui permet de certifier la guérison. La Covid en est une parfaite illustration. Alors si les résultats ne sont pas fiables, vous imaginez tout ce que cela peut poser comme débat parce qu'on peut passer à côté d’un bon diagnostic. On peut ne pas faire un bon traitement et tout ça va impacter négativement sur la prise en charge des patients », a déclaré Professeur Amadou Moctar Dièye, directeur des laboratoires, au ministère de la Santé et de l’Action sociale, ce lundi lors d’un atelier de partage des résultats de l'évaluation externe de la qualité (EEQ) des analyses bactériologiques et parasitologiques.
« Naturellement, il y a des laboratoires qui ont obtenu que bons résultats et d’autres qui ont eu de moins bons résultats. Car après l’identification des causes des gaps relevés des actions seront entreprises pour apporter des corrections nécessaires », a-t-il indiqué.
« Cet exercice a touché les laboratoires du public et du privé, et pratiquement tous les laboratoires sollicités ont participé avec un taux de 95% de participation. Et en valeur absolue, nous avons globalement 55 laboratoires qui ont participé à cette activité », a dit Professeur Dièye.
Il a également souligné que les « conclusions de cette évaluation seront partagées avec les responsables locaux, y compris les médecins-chefs de district et les directeurs régionaux de la santé, afin de renforcer les capacités locales et de combler les lacunes identifiées ».
Parallèlement à cette démarche, Pr Dièye annonce l’élaboration d’un Programme spécial de développement des laboratoires de biologie médicale. « Ce programme ambitieux vise à établir un laboratoire d'excellence dans chacune des 14 capitales régionales du pays. L'objectif est de préparer le Sénégal à faire face efficacement à d'éventuelles épidémies en renforçant les capacités de diagnostic à l'échelle régionale ».
« Ce programme permettra de garantir que toutes les régions du Sénégal disposent des infrastructures nécessaires pour répondre aux besoins quotidiens et aux défis sanitaires urgents, sans que les patients aient besoin de se déplacer », a expliqué le directeur des Laboratoires.
« C’est le laboratoire qui permet souvent de poser le diagnostic. C’est même le laboratoire qui permet de certifier la guérison. La Covid en est une parfaite illustration. Alors si les résultats ne sont pas fiables, vous imaginez tout ce que cela peut poser comme débat parce qu'on peut passer à côté d’un bon diagnostic. On peut ne pas faire un bon traitement et tout ça va impacter négativement sur la prise en charge des patients », a déclaré Professeur Amadou Moctar Dièye, directeur des laboratoires, au ministère de la Santé et de l’Action sociale, ce lundi lors d’un atelier de partage des résultats de l'évaluation externe de la qualité (EEQ) des analyses bactériologiques et parasitologiques.
« Naturellement, il y a des laboratoires qui ont obtenu que bons résultats et d’autres qui ont eu de moins bons résultats. Car après l’identification des causes des gaps relevés des actions seront entreprises pour apporter des corrections nécessaires », a-t-il indiqué.
« Cet exercice a touché les laboratoires du public et du privé, et pratiquement tous les laboratoires sollicités ont participé avec un taux de 95% de participation. Et en valeur absolue, nous avons globalement 55 laboratoires qui ont participé à cette activité », a dit Professeur Dièye.
Il a également souligné que les « conclusions de cette évaluation seront partagées avec les responsables locaux, y compris les médecins-chefs de district et les directeurs régionaux de la santé, afin de renforcer les capacités locales et de combler les lacunes identifiées ».
Parallèlement à cette démarche, Pr Dièye annonce l’élaboration d’un Programme spécial de développement des laboratoires de biologie médicale. « Ce programme ambitieux vise à établir un laboratoire d'excellence dans chacune des 14 capitales régionales du pays. L'objectif est de préparer le Sénégal à faire face efficacement à d'éventuelles épidémies en renforçant les capacités de diagnostic à l'échelle régionale ».
« Ce programme permettra de garantir que toutes les régions du Sénégal disposent des infrastructures nécessaires pour répondre aux besoins quotidiens et aux défis sanitaires urgents, sans que les patients aient besoin de se déplacer », a expliqué le directeur des Laboratoires.
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