La Coordination du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes), section Université Gaston Berger déplore les saccages de certaines infrastructures au sein de leur université. Il s'agit entre autres des bureaux d’enseignants, des services du rectorat, de l’agence comptable, du Centre des œuvres universitaires.
Les syndicalistes qui ont tenu une assemblée général mercredi, ont attiré l’attentions des pouvoirs publics, après avoir «fermement condamné les actes de vandalisme», sur la nécessité de sécuriser l’espace universitaires, faute de quoi la reprise des cours ne serait pas garantie.
«L’Assemblée générale constate avec amertume que les conditions minimales de sécurité, de quiétude et de sérénité ne sont pas remplies pour une reprise des activités à l’Université Gaston Berger», indique le communique parvenu à PressAfrik.
Le document d’ajouter : «Elle en appelle à la responsabilité des pouvoirs publics pour aider à remettre sur pieds l’administration de l’UGB et les invite à prendre toutes les initiatives nécessaires à la restauration d’un climat propice au retour rapide à la normalité».
Ces violences déplorées découlent des manifestations des étudiants, après l'annonce du décès de Fallou Sène, le 15 mai dernier.
Les syndicalistes qui ont tenu une assemblée général mercredi, ont attiré l’attentions des pouvoirs publics, après avoir «fermement condamné les actes de vandalisme», sur la nécessité de sécuriser l’espace universitaires, faute de quoi la reprise des cours ne serait pas garantie.
«L’Assemblée générale constate avec amertume que les conditions minimales de sécurité, de quiétude et de sérénité ne sont pas remplies pour une reprise des activités à l’Université Gaston Berger», indique le communique parvenu à PressAfrik.
Le document d’ajouter : «Elle en appelle à la responsabilité des pouvoirs publics pour aider à remettre sur pieds l’administration de l’UGB et les invite à prendre toutes les initiatives nécessaires à la restauration d’un climat propice au retour rapide à la normalité».
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