Les sommets entre un continent et un pays disposent d’une limite, chaque État arrive avec ses intérêts propres. À l’image de la Tanzanie venue signer un prêt de 2,5 milliards de dollars, et octroyer en contrepartie un accès à la Corée du Sud aux minerais dont dispose le pays.
« La Tanzanie travaille actuellement avec les entreprises coréennes sur l’extraction de graphite. Nous invitons d’autres partenariats dans l’exploration, extraction et la valorisation des minerais essentielles », a déclaré la présidente tanzanienne, Samia Suluhu Hassan.
Un marché de 400 millions de consommateurs
Le président ivoirien Alassane Ouattara a lui aussi détaillé les secteurs dans lequel il espérait améliorer la coopération avec la Corée du Sud. « Je voudrais encourager le secteur privé coréen et ivoirien à interagir afin de tirer profit des opportunités d'investissement, notamment dans la transformation du cacao, dont nous sommes le premier producteur mondial, de l'anacarde (noix de cajou, ndlr) aussi où nous sommes le premier producteur mondial du caoutchouc naturel. Dans le domaine de la transition digitale, de l'innovation et de l'industrie automobile ».
Le président du Togo, Faure Gnassignbé a également plaidé sa cause : « Le Togo bénéficie d’un positionnement stratégique au carrefour de l’Afrique de l’Ouest. Il dispose d’un port en eau profonde important. Il était donc naturel pour le Togo de se développer comme un hub régional et de s’ouvrir sur l’Afrique de l’Ouest un marché de 400 millions de consommateurs en pleine transformation. »
Un argument de poids pour la Corée du Sud dont l’économie est largement tournée vers l’exportation
« La Tanzanie travaille actuellement avec les entreprises coréennes sur l’extraction de graphite. Nous invitons d’autres partenariats dans l’exploration, extraction et la valorisation des minerais essentielles », a déclaré la présidente tanzanienne, Samia Suluhu Hassan.
Un marché de 400 millions de consommateurs
Le président ivoirien Alassane Ouattara a lui aussi détaillé les secteurs dans lequel il espérait améliorer la coopération avec la Corée du Sud. « Je voudrais encourager le secteur privé coréen et ivoirien à interagir afin de tirer profit des opportunités d'investissement, notamment dans la transformation du cacao, dont nous sommes le premier producteur mondial, de l'anacarde (noix de cajou, ndlr) aussi où nous sommes le premier producteur mondial du caoutchouc naturel. Dans le domaine de la transition digitale, de l'innovation et de l'industrie automobile ».
Le président du Togo, Faure Gnassignbé a également plaidé sa cause : « Le Togo bénéficie d’un positionnement stratégique au carrefour de l’Afrique de l’Ouest. Il dispose d’un port en eau profonde important. Il était donc naturel pour le Togo de se développer comme un hub régional et de s’ouvrir sur l’Afrique de l’Ouest un marché de 400 millions de consommateurs en pleine transformation. »
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