La Fédération Générale des Travailleurs du Sénégal (FGTS/B) a publié un communiqué ce dimanche 4 mai, dans lequel elle exprime son soutien « indéfectible » à toutes les travailleuses et tous les travailleurs victimes de licenciement à la veille de la Fête internationale du Travail. Elle condamne avec la plus grande fermeté ce qu’elle qualifie de « sentence dramatique ».
La FGTS/B appelle le gouvernement et le patronat à reconsidérer ces décisions qu’elle juge « injustes », dans un contexte national où « l’emploi salarié est devenu une denrée rare ».
Critiquant la reconduction du Pacte de stabilité économique et sociale, la Fédération regrette que certaines centrales syndicales aient, une fois de plus, signé ce pacte « sans avoir au préalable réglé le passif des syndicats de branche ». Elle réaffirme son attachement à ce qu’elle appelle « la troisième voie », une approche centrée sur le travailleur, qu’elle considère comme la seule viable, car soucieuse de l’avenir du monde du travail.
Dans ce communiqué, la FGTS/B fustige ceux qui, selon elle, se sont « empressés » de signer ce pacte au détriment des syndicats sectoriels à qui ils doivent leur légitimité. Pour la Fédération, ils ont « abandonné et trahi » les travailleurs licenciés, pour lesquels la réintégration devait être une condition préalable à toute signature. Cette attitude témoigne, selon elle, du peu de considération accordée à la situation des travailleurs.
Enfin, la FGTS/B manifeste sa solidarité envers les familles des travailleurs licenciés, en particulier ceux du Rassemblement des Travailleurs du Sénégal (RTS), qu’elle décrit comme « angoissées et déstabilisées ». Elle espère une sortie rapide de la crise sociale en cours et un retour des travailleurs à leurs postes.
La FGTS/B appelle le gouvernement et le patronat à reconsidérer ces décisions qu’elle juge « injustes », dans un contexte national où « l’emploi salarié est devenu une denrée rare ».
Critiquant la reconduction du Pacte de stabilité économique et sociale, la Fédération regrette que certaines centrales syndicales aient, une fois de plus, signé ce pacte « sans avoir au préalable réglé le passif des syndicats de branche ». Elle réaffirme son attachement à ce qu’elle appelle « la troisième voie », une approche centrée sur le travailleur, qu’elle considère comme la seule viable, car soucieuse de l’avenir du monde du travail.
Dans ce communiqué, la FGTS/B fustige ceux qui, selon elle, se sont « empressés » de signer ce pacte au détriment des syndicats sectoriels à qui ils doivent leur légitimité. Pour la Fédération, ils ont « abandonné et trahi » les travailleurs licenciés, pour lesquels la réintégration devait être une condition préalable à toute signature. Cette attitude témoigne, selon elle, du peu de considération accordée à la situation des travailleurs.
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