Selon plusieurs sources, le médiateur éthiopien doit présenter de nouvelles propositions en vue d’une sortie de crise. Les négociations autour d’un gouvernement de transition ont été suspendues depuis le massacre du 3 juin. Depuis, le régime militaire a appelé à plusieurs reprises à reprendre les discussions.
Mais du côté de l’opposition, la confiance est rompue. Les Forces pour la liberté et le changement – une coalition de parti d’opposition, de société civile - posent des conditions à une reprise des contacts, notamment une enquête indépendante sur le massacre des manifestants, le rétablissement d’internet et le retrait de l’armée et des milices des rues de Khartoum.
Avant la rupture des négociations, les deux parties s’étaient mises d’accord sur certains points. Mais les discussions bloquaient la composition du conseil souverain, l’organe qui va diriger la transition jusqu’aux élections; et surtout qui prendra la tête de ce conseil souverain, un militaire ou un civil.
Mais du côté de l’opposition, la confiance est rompue. Les Forces pour la liberté et le changement – une coalition de parti d’opposition, de société civile - posent des conditions à une reprise des contacts, notamment une enquête indépendante sur le massacre des manifestants, le rétablissement d’internet et le retrait de l’armée et des milices des rues de Khartoum.
Avant la rupture des négociations, les deux parties s’étaient mises d’accord sur certains points. Mais les discussions bloquaient la composition du conseil souverain, l’organe qui va diriger la transition jusqu’aux élections; et surtout qui prendra la tête de ce conseil souverain, un militaire ou un civil.
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