La situation des conducteurs de motos Jakarta a été évoqué lors de la 14ème édition de la journée de prières organisée en l’honneur de Serigne Touba à Tambacounda. Le représentant du Khalife général des Mourides, Mame Balla Mbacké, a profité de l’occasion pour appeler l’État à mieux accompagner ce secteur, notamment en « allégeant les conditions d’obtention des divers documents ».
« Les motos Jakarta jouent un grand rôle et contribuent énormément à l’économie nationale. C’est pourquoi il faut qu’ils soient mieux accompagnés », a-t-il plaidé. Selon ses propos recueillis par Le Quotidien, bien qu’il soit nécessaire de réguler et d’identifier ces motos pour des raisons de sécurité, il est essentiel de faciliter les démarches administratives. « Le secteur emploie plusieurs dizaines de milliers de personnes. Leur simplifier l’obtention des pièces contribuerait à pacifier le secteur et même la société », a-t-il ajouté.
Cette problématique intervient dans un contexte où, après deux semaines d’enrôlement des motos de cylindrée supérieure à 49 cc non immatriculées, environ 18 000 demandes ont été enregistrées auprès des services des Mines. Pour accélérer ce processus, le ministère des Transports a lancé une plateforme digitale, Bindou.Mitta.
Yankhoba Diémé, porte-parole du ministère, a expliqué que « se faire identifier et immatriculer reste une obligation pour tous, car c’est une question de sécurité publique. »
Cette journée de prières, tenue au domicile de Mame Balla Mbacké, a également été marquée par des récitals du Saint Coran et des déclamations de Xassidas. Le guide religieux a rappelé l’importance de l’événement : « L’objectif est de rendre grâce à Serigne Touba et de rappeler aux talibés ses recommandations et enseignements. » Les fidèles de différentes obédiences, Mourides, Tidianes et Khadres, ont répondu en masse à cet appel spirituel et citoyen.
« Les motos Jakarta jouent un grand rôle et contribuent énormément à l’économie nationale. C’est pourquoi il faut qu’ils soient mieux accompagnés », a-t-il plaidé. Selon ses propos recueillis par Le Quotidien, bien qu’il soit nécessaire de réguler et d’identifier ces motos pour des raisons de sécurité, il est essentiel de faciliter les démarches administratives. « Le secteur emploie plusieurs dizaines de milliers de personnes. Leur simplifier l’obtention des pièces contribuerait à pacifier le secteur et même la société », a-t-il ajouté.
Cette problématique intervient dans un contexte où, après deux semaines d’enrôlement des motos de cylindrée supérieure à 49 cc non immatriculées, environ 18 000 demandes ont été enregistrées auprès des services des Mines. Pour accélérer ce processus, le ministère des Transports a lancé une plateforme digitale, Bindou.Mitta.
Yankhoba Diémé, porte-parole du ministère, a expliqué que « se faire identifier et immatriculer reste une obligation pour tous, car c’est une question de sécurité publique. »
Cette journée de prières, tenue au domicile de Mame Balla Mbacké, a également été marquée par des récitals du Saint Coran et des déclamations de Xassidas. Le guide religieux a rappelé l’importance de l’événement : « L’objectif est de rendre grâce à Serigne Touba et de rappeler aux talibés ses recommandations et enseignements. » Les fidèles de différentes obédiences, Mourides, Tidianes et Khadres, ont répondu en masse à cet appel spirituel et citoyen.
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