D’après son récit elle a été surprise par ses envahisseurs dans ses activités. Ces derniers l’ont neutralisée en lui assénant un coup à la nuque avec une barre de fer après l’avoir malmené pour qu’elle leur montre les objets de valeurs se trouvant dans la maison. Violentée et battue elle obtempère. Les voleurs vident les tiroirs des objets de valeurs qui s’y trouvaient. Pour la museler, les malfaiteurs lui enfoncent un mouchoir dans la bouche. Ligotée, elle subit les assauts de ses agresseurs. « Les trois voleurs m’ont demandé de choisir entre le viol et la mort. Ils se sont relayés sur moi et m’ont sauvagement violée » avoue-t-elle. Elle passera 3 heures entre les mains de ses barreaux qui s’enfuient après leur forfait la laissant pour morte.
Elle sera découverte par sa patronne qui après avoir sonné à la porte plusieurs fois s’est alarmée et a décidé d’appeler son mari qui se trouvait à son lieu de travail. Sa mère très fâchée avoue : « s’ils avaient imaginé qu’il lui restait encore un souffle après leur forfait ils l’auraient tuée ». Une plainte a été déposée à la brigade de recherches de la gendarmerie par A.N et une autre au commissariat central par les parents de la victime. Encore secouée par son viol et traumatisée par l’image de ses bourreaux encagoulés, A.C bénéficie d’un suivi psychologique dans une structure spécialisée.
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