Une tragédie s'est abattue sur l'école franco-arabe de Bambey Sérère. Un jeune élève de six (6) ans en Classe d’initiation (CI) dans ladite école a été mortellement fauché par une charrette lundi dernier.
L'incident s'est produit vers 11 heures à proximité du lycée de la localité, lors d'une altercation entre élèves provoquée par des revendications concernant l'affectation de professeurs au nouveau collège d'enseignement moyen (CEM) de Bambey Sérère.
Selon le directeur de l'établissement, Cheikh Tidiane Ngom, les élèves, chassés par des jets de pierres des grévistes, se sont retrouvés sur une route latéritique fréquentée par les charrettes lors du marché hebdomadaire. Malheureusement, la vitesse de l'une de ces charrettes a entraîné la tragique collision avec le jeune élève, entraînant son décès.
M.Ngom a également signalé qu'un autre élève avait été blessé à la tête après avoir été touché par une pierre.
À en croire les informations fournies par APS, M. Ngom a vivement condamné l'usage de la violence, soulignant que les revendications peuvent être exprimées de manière pacifique, en particulier lorsqu'il s'agit d'enfants en primaire. Il a déploré l'attitude des personnes ayant perturbé la quiétude de l'établissement.
L'incident s'est produit vers 11 heures à proximité du lycée de la localité, lors d'une altercation entre élèves provoquée par des revendications concernant l'affectation de professeurs au nouveau collège d'enseignement moyen (CEM) de Bambey Sérère.
Selon le directeur de l'établissement, Cheikh Tidiane Ngom, les élèves, chassés par des jets de pierres des grévistes, se sont retrouvés sur une route latéritique fréquentée par les charrettes lors du marché hebdomadaire. Malheureusement, la vitesse de l'une de ces charrettes a entraîné la tragique collision avec le jeune élève, entraînant son décès.
M.Ngom a également signalé qu'un autre élève avait été blessé à la tête après avoir été touché par une pierre.
À en croire les informations fournies par APS, M. Ngom a vivement condamné l'usage de la violence, soulignant que les revendications peuvent être exprimées de manière pacifique, en particulier lorsqu'il s'agit d'enfants en primaire. Il a déploré l'attitude des personnes ayant perturbé la quiétude de l'établissement.
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