Le commissaire Cheikhna Keita était depuis dans les locaux de la divisions des investigations criminelles (DIC). Cette convocation de l'ancien commissaire de police devenu homme politique est pour apporter des éclaircissements sur des commentaires tenus sur les relations entre Bassirou Diomaye et Ousmane Sonko. A sa sorti, des locaux de la DIC, monsieur Keita a révélé aux journalistes présents sur les lieux sa "discussion" entre les enquêteurs et lui.
"je suis arrivé ici depuis 15 heures. On me reproche d'avoir fait une déclaration dans une vidéo relativement à la situation à la présidence, notamment entre le président de la République et son Premier ministre. Et quelques incidents qui se sont produits là-bas et qui sont sur la place publique, rapportés par les sites et que j'ai eu à commenter. C'est ce qu'on me demande d'expliquer", a déclaré commissaire Keita devant les journalistes.
"Sur ce, je leur ai rétorqué que je n'ai fait que commenter. Ce qui est juste déjà. Et je ne vois en quoi ça devrait être interdit. Maintenant entre moi, ce que je comprends et eux ce qu'ils veulent, il y a une différence. Et eux, ils m'interrogent par rapport à ce qu'ils comprennent et ce qu'ils veulent...J'ai des convictions, j'ai un rôle, je suis un citoyen qui a une responsabilité dans ce pays. J'ai le devoir de parler et commenter ce qui s'y passe", a martelé le commissaire.
"Ce n'ai pas mon rôle de confirmer la bataille où la guerre. Vous l'avez à la même source que moi. Je n'ai fait que commenter ça. La source, il faut la chercher au-delà de mes propos. Même pas sur les réseaux sociaux mais sur les sources de ces personnes. Nous avons connaissance de cela et nous commentons utilement pour ça serve à tous les Sénégalais. Nous ne sommes pas des révélateurs d'incidences qui se passent à Présidence", a laissé entendre l'ancien commissaire de police.
Après ce face à face avec les enquêteurs de la DIC, commissaire Keita est prié de repasser demain dans les locaux de l'institution policière.
"je suis arrivé ici depuis 15 heures. On me reproche d'avoir fait une déclaration dans une vidéo relativement à la situation à la présidence, notamment entre le président de la République et son Premier ministre. Et quelques incidents qui se sont produits là-bas et qui sont sur la place publique, rapportés par les sites et que j'ai eu à commenter. C'est ce qu'on me demande d'expliquer", a déclaré commissaire Keita devant les journalistes.
"Sur ce, je leur ai rétorqué que je n'ai fait que commenter. Ce qui est juste déjà. Et je ne vois en quoi ça devrait être interdit. Maintenant entre moi, ce que je comprends et eux ce qu'ils veulent, il y a une différence. Et eux, ils m'interrogent par rapport à ce qu'ils comprennent et ce qu'ils veulent...J'ai des convictions, j'ai un rôle, je suis un citoyen qui a une responsabilité dans ce pays. J'ai le devoir de parler et commenter ce qui s'y passe", a martelé le commissaire.
"Ce n'ai pas mon rôle de confirmer la bataille où la guerre. Vous l'avez à la même source que moi. Je n'ai fait que commenter ça. La source, il faut la chercher au-delà de mes propos. Même pas sur les réseaux sociaux mais sur les sources de ces personnes. Nous avons connaissance de cela et nous commentons utilement pour ça serve à tous les Sénégalais. Nous ne sommes pas des révélateurs d'incidences qui se passent à Présidence", a laissé entendre l'ancien commissaire de police.
Après ce face à face avec les enquêteurs de la DIC, commissaire Keita est prié de repasser demain dans les locaux de l'institution policière.
Autres articles
-
Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"
-
Ousmane Sonko met fin aux spéculations sur son éligibilité : « Rien ne peut m’empêcher d’être candidat »
-
Fonds alloués aux victimes de 2021-2024 : seulement 1,8 milliard débloqué, Maimouna Dièye s’explique sur les retards
-
Bénin : Patrice Talon assure avoir "nettoyé les dernières poches de résistance des mutins"
-
Tentative de coup d’Etat au Bénin : la CEDEAO "a ordonné le déploiement immédiat d'éléments de la Force en attente"




Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"


