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"Ce n'est pas à moi de libérer Karim Wade", le président Sall

Wade tient sa réponse. Après sa sortie musclée en date de ce samedi menaçant son successeur, Macky Sall, ce dernier de réagir. Que le père de Karim se le tienne pour dit, l'actuel président de la République n'est pas du tout dans les dispositions d'intervenir auprès des autorités judiciaires pour la libération de ce dernier.


«Ce n’est pas à moi d’accorder la liberté à Karim Wade. Ce serait même manquer de respect aux institutions de la République qui consacrent constitutionnellement la séparation des pouvoirs. Que faites-vous de ce principe de séparation des pouvoirs ? Je ne fléchirai pas, la reddition des comptes se mènera jusqu’au bout ». Ce sont en ces termes que le président de la République a répondu à l’interpellation d’un de ses collaborateurs avec qui, il s’est entretenu au sujet de la déclaration de Me Wade. Ceci, avec un de ses collaborateurs qui précise que le président Sall est loin d’être ébranlé par les agissements de son prédécesseur.

« Il va vociférer longtemps encore mais cela ne change rien. Nous avons été élu pour travailler pour le peuple Sénégalais », confie le collaborateur à « l’As ». C’est en Allemagne où il recevait le prix Saint Gorges pour « honorer son action dans le domaine de la paix et du dialogue entre les peuples ».





Lundi 2 Février 2015 - 10:08


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1.Posté par Leuk le 02/02/2015 12:43
Reddition des Comptes !
Ce qui se passe avec la CREI c'est tout sauf la Reddition des Comptes.
D'ailleurs on y parle de Traque de ... Supposés...
Une reddition des comptes nous épargnerait toutes ces dérives fondées uniquement sur des Suppositions, des Préjugés.

Quant au procès de Karim Wade, c’est la fin d’un mirage et le refus toujours de s’en rendre compte.

La réalité objective est qu’aujourd'hui ceux qui se proclament Républicains sont en train de piétiner les fondements de la République en l'occurrence la Constitution.

L'opposition a le droit de marcher autant de fois qu'elle veut. Point-Barre !

Et quand on va jusqu'à porter atteinte à la personne de l'honorable député Mamadou Diop Decroix, il y a là dérive autoritaire et antirépublicaine. C'est un véritable recul démocratique !
Une pente dangereuse !

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