Les avocats de l’Etat du Sénégal ont crié victoire suite à leur face à face avec le Groupe de travail des Nations Unies. Et, d’entrée de jeu Mes Moussa Félix Sow, Yérim Thiam et Cie ont soutenu devant la presse qu’ils sont allés dire au Groupe de travail qu’il « a mal travaillé ». Tout d’abord les défenseurs de l’Etat ont fait savoir à l’instance onusienne qu’il n’aurait pas dû interférer dans ce dossier, d’autant que le Conseil des droits de l’Homme duquel il tient son mandat ne peut examiner aucune réclamation si le plaignant n’a pas encore épuisé toutes les voies de recours. Or, soutiennent-il, c’est quand Karim Wade était en détention préventive en 2014 que le Groupe a été saisi par les avocats de ce dernier.
Donc, résument les défenseurs de l’Etat, l’avis rendu par ladite structure ne concerne pas la situation présente de Karim Wade. Ensuite, poursuivent toujours les avocats de l’Etat, le Groupe de travail a été incapable de répondre sur les critères sur lesquels il s’est basé pour computer délais. Plus grave, dénonce Me Moussa Félix Sow, le Groupe a refusé d’accepter le dossier du Sénégal sous prétexte que sa réponse a tardé de quelques heures. Mais raillent-ils, la partie la plus sulfureuse de cette affaire est qu’un Béninois du nom de Adjovi ne devrait pas siéger pour éviter le conflit d’intérêt conformément au point 5 de la charte de fonctionnement de la structure. Et, au vu de toutes les remarques des défenseurs de l’Etat, le Président du Groupe a promis que sa structure va réexaminer la réponse du Sénégal.
Donc, résument les défenseurs de l’Etat, l’avis rendu par ladite structure ne concerne pas la situation présente de Karim Wade. Ensuite, poursuivent toujours les avocats de l’Etat, le Groupe de travail a été incapable de répondre sur les critères sur lesquels il s’est basé pour computer délais. Plus grave, dénonce Me Moussa Félix Sow, le Groupe a refusé d’accepter le dossier du Sénégal sous prétexte que sa réponse a tardé de quelques heures. Mais raillent-ils, la partie la plus sulfureuse de cette affaire est qu’un Béninois du nom de Adjovi ne devrait pas siéger pour éviter le conflit d’intérêt conformément au point 5 de la charte de fonctionnement de la structure. Et, au vu de toutes les remarques des défenseurs de l’Etat, le Président du Groupe a promis que sa structure va réexaminer la réponse du Sénégal.
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