Un groupe de plusieurs homosexuels qui voulaient célébrer leurs mariages à Kaolack a été démasqué par les éléments de la police. Ce sont ceux de la Brigade de recherches du commissariat central qui les ont pris en flagrant délit de mariages collectifs contre nature. Les homosexuels avaient convié les prétendants à une séance publique d’unions pour que chacun sache désormais qu’untel est la « femme » d’untel et que chaque marié est tenu de se plier au devoir de fidélité. Au Lycée Ibrahima Diouf, ce sont des mariages entre homosexuels qui allaient être scellés dans la nuit du jeudi au vendredi 25 décembre 2015. Et pour la cérémonie, les prétendants n’ont pas lésiné sur les moyens. Ceux dont les oncles ne sont pas venus, ont vu leurs tantes honorer de leur présence à leurs mariages, les invités ont donc débarquer avec des valises bourrées de cadeaux et des sacs remplis de chemises blanches, des pantalons, des robes de mariées, des bagues, des préservatifs et autres lubrifiants.
Alors que la fête battait son plein et que les unions étaient en train d’être scellées, la police, informée de l’événement, débarque. Tous prennent leurs jambes à leur cou pour ne pas se laisser prendre mais cela n’a pas empêché à onze (11) d’entre les prétendants d’être pris dans les filets de la police. Les autres sont activement recherchés, indique « La Tribune ». Réprimé au Sénégal, tout acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe est qualifié de pratique homosexuelle punie par l’article 319 du Code pénal sénégalais qui prévoit un emprisonnement d’un à cinq ans de prison et une amende de 100.000 à 1.500.000 F CFA. Ce mariage de gays à Kaolack rappelle celui de Mbao qui avait entraîné l’arrestation et l’emprisonnement d’homosexuels.
Alors que la fête battait son plein et que les unions étaient en train d’être scellées, la police, informée de l’événement, débarque. Tous prennent leurs jambes à leur cou pour ne pas se laisser prendre mais cela n’a pas empêché à onze (11) d’entre les prétendants d’être pris dans les filets de la police. Les autres sont activement recherchés, indique « La Tribune ». Réprimé au Sénégal, tout acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe est qualifié de pratique homosexuelle punie par l’article 319 du Code pénal sénégalais qui prévoit un emprisonnement d’un à cinq ans de prison et une amende de 100.000 à 1.500.000 F CFA. Ce mariage de gays à Kaolack rappelle celui de Mbao qui avait entraîné l’arrestation et l’emprisonnement d’homosexuels.
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