L'offense au chef de l’Etat a coûté la liberté à pas mal de journalistes, activistes et surtout opposants. Déthié Fall, candidat déclaré à la présidentielle de 2024 s'est engagé à supprimer ce délit une fois élu. Il a fait la promesse ce dimanche, lors de la cérémonie de clôture du seminaire programmatique des cadres du Parti pour la République des progrès.
" Sur le plan de la justice, notre ambition est de faire du Sénégal un pays où la justice
sera impartiale et équidistante ; une justice qui sera un véritable contre pouvoir et dont
son action ne sera dictée que par l’éthique et la déontologie. Je m’engage à supprimer le délit d’offense au Chef de l’Etat", a t-il déclaré devant l'assistance.
Et ce n'est pas la seule réforme de justice envisagée par Déthié Fall. Le leader du PRP promet également de "renforcer les organes de contrôle de la bonne gouvernance afin qu’ils puissent disposer de l’autonomie de saisir directement la justice sans autorisation de l'exécutif".
L'opposant prévoit également "un juge des libertés pour limiter les détentions préventives abusivement utilisées par le procureur ; créer une haute autorité indépendante et autonome en charge des élections et de la vie des partis politiques, rendre les ministres et le Président de République pénalement responsables de
leurs actes dans l’exercice de leur fonction."
" Sur le plan de la justice, notre ambition est de faire du Sénégal un pays où la justice
sera impartiale et équidistante ; une justice qui sera un véritable contre pouvoir et dont
son action ne sera dictée que par l’éthique et la déontologie. Je m’engage à supprimer le délit d’offense au Chef de l’Etat", a t-il déclaré devant l'assistance.
Et ce n'est pas la seule réforme de justice envisagée par Déthié Fall. Le leader du PRP promet également de "renforcer les organes de contrôle de la bonne gouvernance afin qu’ils puissent disposer de l’autonomie de saisir directement la justice sans autorisation de l'exécutif".
L'opposant prévoit également "un juge des libertés pour limiter les détentions préventives abusivement utilisées par le procureur ; créer une haute autorité indépendante et autonome en charge des élections et de la vie des partis politiques, rendre les ministres et le Président de République pénalement responsables de
leurs actes dans l’exercice de leur fonction."
Autres articles
-
Plan Diomaye pour la Casamance : le taux d’exécution du projet est de 46%, selon le comité de pilotage
-
Montrolland adopte un budget 2026 de près d’un milliard FCFA axé sur l’investissement et l’innovation
-
Affaire des fonds Covid : liberté provisoire accordée à Mouhamadou Bamba Amar
-
Extradition de Doro Gueye : «Le délibéré est suspendu» à cause d’un «dossier bâclé et mal ficelé», selon Madiambal
-
Gouvernance : le FDR accuse le régime d’aggraver la situation économique





Plan Diomaye pour la Casamance : le taux d’exécution du projet est de 46%, selon le comité de pilotage


