
Depuis l’accession des nouvelles autorités au pouvoir la presse sénégalaise est confrontée à plusieurs difficultés allant de blocage des comptes à la fermeture pour certains médias, sans compter des intimidations voilées. Face à cette situation, le Conseil des éditeurs et patrons de presse (Cdeps), a enclenché un plan d’action ce lundi par un Edito qui sera suivi d’une journée sas presse prévue, mardi 13 août 2024.
Dans un communiqué rendu public ce lundi 12 août, la section sénégalaise de l'Union internationale de la presse francophone (Upf Sénégal) « marque sa solidarité au Conseil des éditeurs et patrons de presse (Cdeps), à l'occasion de la Journée sans presse, mardi 13 août 2024 ».
« UPF Section Sénégal conformément à ses statuts est pour la protection de la presse », lit-on dans le communiqué.
L’Upf souligne en outre : « Depuis les années Covid 2020 et 2021, le constat est général, la presse vit des moments difficiles avec des pertes d'emplois et des pressions de tout bord ».
Mieux, l'Union internationale de la presse francophone indique « depuis quelques mois une pression fiscale asphyxie les sociétés de presse avec les blocages des comptes pour redressement fiscal. Les suspensions récentes de certaines conventions avec des sociétés d'Etat ont accéléré les difficultés des entreprises de presse ».
Face à ces difficultés économiques, poursuit le communiqué, « l'UPF Sénégal invite l'Etat à ouvrir des discussions avec toutes les parties prenantes pour trouver des plages de convergence ».
Selon l’Upf, « une concertation sereine doit être engagée pour trouver les solutions idoines face à cette crise pour la survie des entreprises de presse et la sauvegarde des emplois ».
Dans un communiqué rendu public ce lundi 12 août, la section sénégalaise de l'Union internationale de la presse francophone (Upf Sénégal) « marque sa solidarité au Conseil des éditeurs et patrons de presse (Cdeps), à l'occasion de la Journée sans presse, mardi 13 août 2024 ».
« UPF Section Sénégal conformément à ses statuts est pour la protection de la presse », lit-on dans le communiqué.
L’Upf souligne en outre : « Depuis les années Covid 2020 et 2021, le constat est général, la presse vit des moments difficiles avec des pertes d'emplois et des pressions de tout bord ».
Mieux, l'Union internationale de la presse francophone indique « depuis quelques mois une pression fiscale asphyxie les sociétés de presse avec les blocages des comptes pour redressement fiscal. Les suspensions récentes de certaines conventions avec des sociétés d'Etat ont accéléré les difficultés des entreprises de presse ».
Face à ces difficultés économiques, poursuit le communiqué, « l'UPF Sénégal invite l'Etat à ouvrir des discussions avec toutes les parties prenantes pour trouver des plages de convergence ».
Selon l’Upf, « une concertation sereine doit être engagée pour trouver les solutions idoines face à cette crise pour la survie des entreprises de presse et la sauvegarde des emplois ».
Autres articles
-
Altercation à l’hôpital Roi Baudouin de Guédiawaye : la direction dément les rumeurs sur des fonds détournés
-
Grève dans la Justice : les travailleurs dénoncent les propos du ministre Olivier Boucal
-
Bac technique 2025 à Kédougou : moins de 20 % de réussite au premier tour au lycée industriel Mamba Guirassy
-
Saint-Louis : Un quinquagénaire accusé de tentative de viol sur une adolescente de 17 ans
-
Combat de lutte Zarco/Sa Thiès:17 personnes interpellées et du chanvre saisi à Grand Yoff