A peine la prière du crépuscule terminée, une marée humaine, parée de blanc, prennent d’assaut l’immense espace à l’entrée de la cité religieuse, devant abriter le « cours magistral » du père de Serigne Moustapha Sy, responsable moral du dahira. Un rendez à ne pas manquer et qui semble valoir tous les sacrifices.
Du côté des moustarchidines, la prière du crépuscule précède l’heure du diner dans les maisons de campement car le retard n’est pas permis. Par ailleurs, avant 22 heures, l’endroit bat déjà son plein. A l’intérieur, la vaste tente soigneusement décorée et illuminée a déjà fait son plein, et les retardataires assiègent les alentours du pavillon, d’où ils pourront suivre la conférence de Serigne Cheikh à travers les écrans géants éparpillés un peu partout dans les lieux.
Une position toutefois inconfortable à cause du froid de canard qui fait sa loi dans cet espace immense. Néanmoins, comme étant déjà avertis, l’équipement ne semble pas faire défaut chez les fidèles. Djellaba, écharpes, bonnets…sont indispensables pour tenir le frisquet de la nuit. A 23heures, sous les récitals de coran, le champ des cours est archi-comble à l’heure présente, attendant avec avidité l’homme qui, de toute l’année, n’apparait que la nuit du Gamou.
Toutefois, après près d’un tour d’horloge et à la surprise générale, les talibés aperçoivent Serigne Pape Malick Sy prendre place au fauteuil réservé à son frère ainé Serigne Cheikh. Un moment qui a suscité l’incompréhension générale et que le conférencier du jour explique dès l’incipit de son speech. « Ce n’est pas une absence par paresse, mais une raison mystique. Le Gamou n’appartient à personne d’autres que le prophète (PSL) », a laissé entendre Serigne Pape Malick Sy qui dit transmettre les mots de son frère.
Du côté des moustarchidines, la prière du crépuscule précède l’heure du diner dans les maisons de campement car le retard n’est pas permis. Par ailleurs, avant 22 heures, l’endroit bat déjà son plein. A l’intérieur, la vaste tente soigneusement décorée et illuminée a déjà fait son plein, et les retardataires assiègent les alentours du pavillon, d’où ils pourront suivre la conférence de Serigne Cheikh à travers les écrans géants éparpillés un peu partout dans les lieux.
Une position toutefois inconfortable à cause du froid de canard qui fait sa loi dans cet espace immense. Néanmoins, comme étant déjà avertis, l’équipement ne semble pas faire défaut chez les fidèles. Djellaba, écharpes, bonnets…sont indispensables pour tenir le frisquet de la nuit. A 23heures, sous les récitals de coran, le champ des cours est archi-comble à l’heure présente, attendant avec avidité l’homme qui, de toute l’année, n’apparait que la nuit du Gamou.
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